Le diabète gestationnel (DG) peut être considéré comme « un syndrome métabolique à court terme », l’hyperglycémie entrainant des lésions vasculaires via l’inflammation, le stress oxydatif, la sénescence, les altérations épigénétiques… Le myoinositol pourrait améliorer le métabolisme du glucose, la résistance à l'insuline en améliorant potentiellement la santé vasculaire.

Si les données sont nombreuses sur l’issue des ulcères de pieds diabétiques chez les patients hospitalisés, peu d’études se sont intéressées à la prise en charge de ces ulcères dans leur globalité : ville et hôpital. Qu’en est-il des facteurs prédictifs du risque d’amputation et du parcours de soins de nos patients en vraie vie ?

Si le double agoniste GLP1-GIP a fait ses preuves en termes d’efficacité sur le poids et sur le diabète, qu’en est-il de son effet sur la MASH et quel lien y a-t-il entre les variations des profils hépatique et métabolique ?

Si le traitement de la maladie rénale chronique et de l’obésité a beaucoup évolué avec les nouveaux traitements du diabète de type 2, qu’en est-il de l’efficacité de ces traitements par rapport à la chirurgie bariatrique sur la maladie rénale chronique ?

Le plus difficile au moment du diagnostic du diabète est souvent de le classer… Voici un nouvel algorithme simplifier qui pourra vous aider.

Obésité et diabète de type 1 sont deux maladies dont la prévalence augmente et avec un surrisque cardiovasculaire et rénal important. Quels sont les effets d’un traitement par iSGLT2 et GLP1-RA dans cette population sur le poids et la néphropathie ?

Si des différences de prévalence de maladie rénale chronique diabétique ont été identifiées en fonction de l’origine ethnique, qu’en est-il de l’association origine ethnique/progression de la maladie rénale chronique ?

Le rétatrutide (RETA) est un triple agoniste du récepteur du GIP, du glucagon et de GLP-1. Son utilisation est associée à une réduction du poids et de l’HbA1c chez les personnes souffrant d’obésité et de DT2. Il n’y a pas encore de données cardiovasculaires.

Dans l'essai SELECT, l’utilisation du sémaglutide 2,4 mg a permis une réduction des événements cardiovasculaires majeurs (MACE) de 20% (par rapport au placebo) chez les participants en surpoids ou obèses (IMC ≥27kg/m2) et ayant des antécédents de maladie cardiovasculaire mais sans diabète.

L'insuffisance rénale chronique associée au diabète représente encore l'une des principales causes d'insuffisance rénale terminale et un puissant facteur de risque cardiovasculaire. Ici, il a été comparé les effets des inhibiteurs du cotransporteur sodium-glucose 2 (SGLT2i) et des agonistes des récepteurs du peptide-1 de type glucagon (GLP-1RA) sur les résultats rénaux chez les patients atteints de diabète de type 2.

Le consensus ADA/EASD sur la gestion de l'hyperglycémie dans le diabète de type 2 (DT2) recommande l'utilisation de Inhibiteurs du SGLT-2 (iSGLT-2) et agoniste des récepteurs du GLP-1 (GLP-1RA) chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique (IRC).

Les hypoglycémies sont l’effet indésirable le plus fréquent du traitement du diabète de type 1. Leur non perception est associée à plus de comorbidités. La concentration de peptide C résiduelle est-elle en lien avec l’altération de la perception des hypoglycémies chez le patient diabétique de type 1 ?

Beaucoup de patients ont attendu la boucle fermée avec l’Omnipod 5, les résultats sont-ils aussi bons qu’avec les autres boucles fermées ?

Si le surrisque de maladie auto-immune chez les patients diabétiques de type 1 est bien connu, qu’en est-il du risque de développer un diabète de type 1 chez les patients atteints d’autre maladie auto-immune ?

Selon des études antérieures, l’espérance de vie des personnes atteintes de diabète de type 1 est inférieure de près de dix ans à celle de la population générale. Le but de l'étude était d'évaluer l'effet des comorbidités, des valeurs de laboratoires sur la mortalité toutes causes confondues dans cette population.

L’œdème maculaire se traite aujourd’hui entre autres par des injections intravitréennes de glucocorticoïde, qui a comme effet secondaire de traiter le glaucome. Si le traitement du glaucome vise la diminution de la pression oculaire, entre un quart et la moitié des patients n’ont pas cette augmentation de pression, ainsi les traitements neuroprotecteurs pourraient leur bénéficier.

Chez les patients atteints de diabète et d'obésité, l'avantage distinct de la chirurgie métabolique bariatrique (CMB) et des agonistes des récepteurs du GLP1 (AR-GLP1) dans la réduction des événements cardiovasculaires indésirables majeurs (MACE) est bien établi. Cependant, le bénéfice du traitement par AR-GLP1 après CMB pour la prévention primaire du MACE n'est pas clair.

Il a été démontré que les iSGLT2 réduisent la mortalité liée aux maladies cardiovasculaires (MCV) dans le diabète de type 2 (DT2), initialement dans l'essai EMPAREG et confirmé dans des études observationnelles. Cependant, les méthodes d'analyse des données de vie réelle ont incorporé des facteurs de confusion variant dans le temps, ce qui rend l'interprétation clinique limitée et les comparaisons purement associatives.