Environ 12 à 20% des patients avec pathologies rhumatologiques consomment du cannabis. Dans le contexte de légalisation du cannabis médical en Californie il y a plus de deux décennies, les auteurs avaient pour objectif d’évaluer les habitudes de consommation du cannabis et ses effets sur la douleur dans une cohorte de patients souffrant de pathologies rhumatologiques.

Les auteurs ont cherché à évaluer la prévalence de la douleur chronique multisite chez les personnes âgées, indépendamment du diagnostic sous-jacent.

L’objectif était d’évaluer la valeur de la discordance entre critères subjectifs et objectifs de l’activité de la maladie pour le diagnostic de douleur nociplastique.

Intérêts de l’intelligence artificielle pour déterminer les facteurs de risque d’effets indésirables graves sous opioïde dans une population de patients souffrant de pathologies rhumatologiques.

Dans la population générale, les douleurs musculo-squelettiques généralisées sont fréquentes et souvent invalidantes. Des enquêtes épidémiologiques aux États-Unis et en Europe dans les années 1990 et au début des années 2000 ont rapporté une prévalence de 10 à 11% chez les adultes, avec une prévalence plus élevée chez les personnes de plus de 40 ans.

La gestion de la douleur reste parfois difficile dans la polyarthrite rhumatoïde (PR), ainsi que celle des troubles du sommeil, de l’anxiété et de la dépression. Le cannabis, avec des effets supposés immunomodulateurs et analgésiques, est régulièrement utilisé par les patients.

La baisse de la démographie des kinésithérapeutes incite à trouver des solutions alternatives à des séances en présentiel. Dans cet essai contrôlé randomisé australien de non-infériorité, les auteurs ont comparé une kinésithérapie en distanciel à une kinésithérapie en présentiel.

L’effet des infiltrations épidurales de dérivés cortisonés par voie transforaminale dans le traitement de la lombosciatique est actuellement remis en question. Plusieurs méta-analyses n’ont pas retrouvé pas d’effet à long terme (>3 mois), l’effet à court terme étant modeste sur la douleur radiculaire.

Le rhumatisme psoriasique fait l’objet, à l’image de la PR, d’une stratégie dite ciblée. Dans l’arsenal thérapeutique, il existe les biomédicaments anti-IL17 notamment sécukinumab et ixékizumab. Ce dernier traitement biologique a fait l’objet d’un important programme de développement.

L’activité physique régulière a été dans différentes pathologies associée à une réduction des manifestations douloureuses. En est-il de même pour les douleurs associées à l’endométriose ?

La douleur dans le rhumatisme psoriasique (PsA) est multidimensionnelle et peut dépendre de l'état inflammatoire et potentiellement d’autres mécanismes.

Étudier l'impact d'un dispositif de neurostimulation transcutanée W-TENS sur la fonction, la qualité de vie, l'indication chirurgicale, et la consommation de médicaments chez les patients en surpoids avec gonarthrose dans une étude de cohorte, en comparant les patients avant et après 3 mois d'utilisation.