Angéline Ducrocq observe dans Femme Actuelle que « l’amputation d’un membre engendre des douleurs de différentes natures. Les douleurs fantômes en constituent l’une d’entre elles ». La journaliste précise que « ressenties par 33 à 70% des patients juste après l’amputation...

Ouest-France indique que « du mercredi 22 au vendredi 24 novembre 2023, de nombreux spécialistes de la douleur [sont intervenus] auprès de 1750 inscrits au congrès de la Société française d’étude et du traitement de la douleur (SFETD), au palais du Grand large, à Saint-Malo ».

Agnès Duperrin remarque dans Notre Temps : « Cancer, zona, paralysie… si une douleur persiste, c’est que la parade reste à trouver. Pour soulager les malades chroniques, la chercheuse Nadine Attal n’hésite pas à détourner les médicaments existants pour un autre usage avec, à la clé, des découvertes inédites ».

Oihana Gabriel se penche dans Notre Temps sur la sciatique, « une douleur qui touche la jambe, causée par la compression et l'inflammation du nerf sciatique, d'où son nom ». Charley Cohen, rhumatologue, indique que « cette douleur qui démarre en bas du dos est d'apparition brutale, mais peut être chronique ».

À partir d’une revue systématique de la littérature, quels sont la prévalence, l’impact des douleurs neuropathiques sur la qualité de vie, sur le moral, chez des patients atteints de sclérose en plaques ?

Cette étude met en évidence une sensibilité accrue à la douleur chez les survivants d'AVC, indépendamment de la présence de douleurs chroniques. Ces résultats soulignent la nécessité pour les professionnels de la santé d'être conscients de cette sensibilité accrue à la douleur chez les patients ayant eu un AVC, pour mieux gérer et traiter leurs besoins en matière de douleur.

Les douleurs neuropathiques sont difficiles à traiter, particulièrement chez les personnes âgées, qui souvent tolèrent moins les traitements médicamenteux. Une revue systématique a synthétisé les traitements non médicamenteux efficaces pour diminuer ces douleurs.

Si le psoriasis (PSO) précède dans la très grande majorité des cas le rhumatisme psoriasique (PSA), 20 à 30 % des PSO vont se compliquer de PSA, d’où l’importance d’identifier aujourd’hui les sujets avec PSO et à risque de développer un PSA. C’est toute la réflexion actuelle sur la stratégie dite d’interception, mais encore faut-il sélectionner les sujets les plus à risque.

Quelles sont les raisons qui poussent les patients à arrêter ou retarder le denosumsab ? Les connaitre pourrait permettre de mieux anticiper et de prévenir les interruptions afin de limiter le risque de fracture post-denosumab.

La prévalence de l’obésité est importante chez les patients atteints de rhumatisme psoriasique. Il n’existe que peu d’études sur l’effet de l’obésité sur l’obtention du statut de rémission. L’objectif de cette étude se basant le registre prospectif et international ReFlaP était d’évaluer l’association entre obésité et obtention de la rémission/faible activité de la maladie.

Si les corticoïdes injectables font partie intégrante de la prise en charge de la gonarthrose, notamment en cas de poussés douloureuses, leur efficacité est limitée dans le temps tandis que la répétition trop fréquente des injections pourrait s’avérer délétère sur le cartilage...

La neuropathie des petites fibres, affectant les fibres A-delta et C, a été décrite chez les patients atteints de fibromyalgie (FM). L’objectif de cette étude était de rechercher différents types de lésions des petites fibres en fonction de sous-groupes distincts de FM.