Hématologie
Compte Rendu
Source : European Hematology Association Congress (EHA2025)
Efficacité et tolérance du traitement anticoagulant dans les NMP avec thrombose splanchnique : résultats d'une cohorte internationale rétrospective
Dr Nicolas Gendron Hôpital Européen Georges-Pompidou - Paris
Les néoplasies myéloprolifératives sont des hémopathies chroniques associées à un risque thrombotique élevé. La maladie veineuse thromboembolique dans les NMP se manifeste souvent par une thrombose des veines splanchniques, définie comme une thrombose des veines porte, hépatique, mésentérique ou splénique. Les données guidant la prise en charge anticoagulante des TVS associées aux NMP sont limitées.
Autres
Article Commenté
Source : Clin Kidney J. 2025 Jun 16;18(6):sfaf148.
Effet cancérigène des agents stimulateurs de l'érythropoïèse chez les patients hémodialysés
Dr Pablo Antonio Ureña Torres AURA Nord - Saint-Ouen
Étude sud-coréenne montrant une augmentation du risque de développer un cancer chez les patients hémodialysés chroniques, dont l’anémie est traitée par des agents stimulateurs de l’érythropoïèse à action prolongée et à fortes doses.
Cancer du poumon
Cas Clinique
Source : Cancero.net - Dossier peps CBNPC Juillet 2025
Cas clinique CBNPC métastatique avec altération génomique actionnable
Dr Bertrand Mennecier CHRU - Nancy
Sénologie
Vos patients ont lu
Source : NeuroScoop.net - Actu'Hebdo Juillet 2025
« Les survivantes du cancer du sein sont-elles plus à risque d'Alzheimer ? »
« Une étude sur 70.000 femmes s’est penchée sur le risque de développer Alzheimer chez celles qui ont survécu à un cancer du sein. Les résultats vont à rebours des idées reçues, avec une surprise du côté de la radiothérapie », révèle Catherine Cordonnier dans Top Santé.
Cancer du poumon
Vos patients ont lu
Source : Cancero.net - Bimensuelle Juin 2025
« On m'a dit que je dramatisais, que ce symptôme n'était rien, et pendant ce temps, une tumeur de 12 centimètres écrasait mes poumons »
« Hannah, une Britannique d’une vingtaine d’années, s’est battue contre une série de symptômes inquiétants [une toux inhabituelle, une éruption cutanée généralisée, une fatigue extrême et une perte de poids importante] que personne ne prenait au sérieux. Huit mois plus tard, elle découvrait une tumeur de 12 cm et un cancer de stade 4 », fait savoir Elena Bizzotto.
Cancer du poumon
Vos patients ont lu
Source : Cancero.net - Bimensuelle Juin 2025
« ArriVent annonce une survie sans progression de 16 mois pour son médicament contre le cancer du poumon »
Investing 23 juin 2025
« ArriVent BioPharma, (…) une société de biotechnologie en phase clinique (…) a annoncé des données de suivi de son essai de phase 1b FURTHER montrant une survie médiane sans progression de 16,0 mois pour les patients traités avec firmonertinib 240 mg dans le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avec mutations EGFR PACC », fait savoir le site boursier.
Sénologie
Vos patients ont lu
Source : Cancero.net - Bimensuelle Juin 2025
« Cancer du sein, mais pas de grosseur ? Un médecin révèle 5 signes que les femmes ne voient généralement pas »
« On associe souvent la découverte d’un cancer du sein à une grosseur suspecte. Pourtant, ce symptôme est loin d’être le seul indicateur de la maladie », indique Elena Bizzotto dans Top Santé.
Cancer du poumon
Article Commenté
Source : Lancet. 2025 : 405(10495):2129-2143.
Prolonger la survie des patients atteints de cancer du poumon à petites cellules : effet d'une maintenance post-induction par l'association lurbinectédine/atézolizumab
Pr Jean-Louis Pujol CHU et IRCM INSERM U 1194 - Montpellier
Pour le cancer du poumon à petites cellules répondeur à une induction par immunochimiothérapie combinée, la maintenance par l’association lurbinectédine/atézolizumab prolonge la survie des patients en comparaison avec la seule maintenance par atézolizumab.
Cancer de la prostate
Article Commenté
Source : J Clin Oncol. 2025 ; 43:2059-2068
RAVENS - phase II : radiothérapie stéréotaxique avec ou sans radiothérapie interne vectorisée, qui dit mieux ?
Dr Marine Gross-Goupil CHU Saint André - Bordeaux
La radiothérapie stéréotaxique fait partie des options discutées en RCP, pour le traitement des cancers de prostate oligométastatiques hormonosensibles, associé au traitement systémique, par déprivation androgénique +/-nouvelle hormonothérapie de seconde génération.
Cancer ORL
Article Commenté
Source : N Engl J Med. 2025 Jun 18. doi:10.1056/NEJMoa2415434.
Traitement néoadjuvant et adjuvant par pembrolizumab dans les cancers tête et cou localement avancés
Dr Thibault Gauduchon Centre Léon Bérard - Lyon
L’essai de phase III KEYNOTE-689 montre que l’ajout de pembrolizumab en périopératoire au traitement standard des carcinomes épidermoïdes ORL localement avancés résécables améliore significativement la survie sans événement, quel que soit le statut PD-L1.
Cancer digestif
Article Commenté
Source : Lancet Oncol 2025 ; 26:732-44
TFOX vs FOLFOX en 1re ligne du cancer gastrique ou de la jonction œsogastrique HER2 négatif : résultat de l'essai de phase III GASTFOX FFCD-PRODIGE 51
Pr Jean-Marc Phelip CHU - Saint-Etienne
Le traitement de référence de l’adénocarcinome gastrique (ou de la jonction œsogastrique, JOG) métastatique est un doublet de type 5FU + platine lorsque la tumeur ne surexprime pas HER2 (ni PD(L)-1 : score CPS < 5). Dans les formes localisées, résécables, c’est le triplet de type FLOT (fluorouracile, oxaliplatine et docétaxel) périopératoire qui est le standard avec une efficacité supérieure au doublet en termes de réponse et de survie sans récidive.
Cancer digestif
Article Commenté
Source : BJS Open. 2025 Mar 4;9(2):zrae169.
Faut-il faire une stomie préventive aux patients porteurs d'un cancer du rectum traités par un traitement néoadjuvant long ?
Dr Joël Pitre Clinique Mutualiste du Médoc - Lesparre
Les patients porteurs d’un adénocarcinome du rectum localement avancé présentent un risque plus important de récidive locale, ce qui justifie actuellement un traitement néoadjuvant associant le plus souvent radio- et chimiothérapie. Les protocoles sont plus ou moins longs, en particulier pour la radiothérapie, mais cette stratégie, bien que bénéfique sur le plan oncologique, expose à la survenue potentielle d’occlusion et/ou de perforation avant la date d’une éventuelle proctectomie.