Si la place de l’IRM cardiaque pour évaluer la sévérité de l’insuffisance aortique est bien établie en cas de mauvaise échogénicité, celle pour déterminer le moment optimal de l’intervention, par l’étude du remodelage, nécessite d'autres études.

Il est bien admis qu’il existe au cours de la PR une augmentation globale du risque d’événements cardiovasculaires (CV) mais aussi du risque incident de diabète. On reconnaît toute l’importance du contrôle de la maladie, mais aussi des facteurs de risque CV dits modifiables. Ainsi le recours aux statines est-il fréquent, avec une efficacité reconnue en prévention primaire et secondaire.

« L’Organisation mondiale de la santé dévoile que les édulcorants artificiels peuvent "avoir des effets indésirables potentiels" comme "un risque accru de diabète de type 2, de maladies cardiovasculaires et de mortalité chez les adultes" », fait savoir Santé Magazine. « Dans un communiqué, l’Organisation mondiale de la santé rapporte...

Les dermatomyosites (DM) avec anticorps MDA5 sont habituellement des DM à myopathie compliquées d’atteinte cutanée notamment des ulcérations digitales, un risque important de pneumopathie interstitielle rapidement progressive, des signes cutanés de DM et une polyarthrite non érosive. Une atteinte cardiaque dans les DM MDA5 est rare.

Santé Magazine note que « près de 30% des adultes, soit 17 millions de personnes, sont hypertendus en France. Mais seulement un hypertendu sur deux a connaissance de son hypertension artérielle (HTA) et un sur deux est traité par médicaments ». Le magazine relaie ainsi « les dernières données sur l’HTA publiées par Santé Publique France...

« Stress, sédentarité, troubles du sommeil... Il existe de nombreux facteurs de risque de pathologies cardiovasculaires, comme l'infarctus du myocarde ou l'accident vasculaire cérébral (AVC) », rappelle Maéva Ferrenz dans Femme Actuelle. « Un nouveau facteur vient cependant d'être identifié par des chercheurs de l'European Society of Cardiology...

« Parler souvent au téléphone n’est pas sans risque. [Dans la revue European Heart Journal – Digital Health qui appartient à la Société européenne de cardiologie (ESC)], une nouvelle étude démontre même que téléphoner plus de 30 minutes par semaine augmente le risque d’hypertension artérielle. Plus la durée passée au téléphone est importante, plus le risque est élevé », révèle Auriane Polge dans Science & Vie.

Cette étude est de loin la plus grande étude de population pour évaluer la relation entre les pressions artérielles cliniques et ambulatoires et le décès. Elle a été entreprise en soins primaires, impliquant près de 60.000 patients, sur une longue durée de suivi (médiane de près de 10 ans). Elle montre que la pression artérielle ambulatoire, et surtout nocturne, est plus informative sur le risque de décès toutes causes confondues et de décès cardiovasculaire que la pression artérielle clinique conventionnelle.

Chez les patients porteurs d’un dispositif électronique implantable cardiaque et atteints d’endocardite infectieuse, le recours à l’extraction transveineuse de sonde est bas, malgré le faible taux de complications procédurales et les recommandations favorables à cette pratique du fait du bénéfice bien établi de l’extraction.

« L’hypertension sans cause connue ne peut pas être guérie, mais elle peut être contrôlée pour éviter des complications, notamment grâce au sport », rappelle Florine Cauchie dans Femme Actuelle. « Lors d’un effort, la fréquence cardiaque s’accélère pour compenser la dépense énergétique des muscles sollicités. Plus un sport est pratiqué régulièrement...

Découvrez les résultats de cette méta-analyse qui explore l'efficacité et la sécurité du contrôle intensif de la pression artérielle chez les patients atteints de maladie rénale chronique. S'appuyant sur sept études majeures, elle offre un aperçu précieux de l'impact du contrôle de la pression artérielle particulièrement dans les stades avancés.

Il s’agit d’une analyse de 2 cohortes, la UK Biobank (N=12.321) et la Seoul National University Hospital (SNUH) (N=1165), où l’incidence des évènements cardiovasculaires était comparée en fonction de l’âge au diagnostic de diabète. Le risque génétique était quantifié à partir d’un score de risque polygénique.