Une sédentarité excessive, même chez les individus physiquement actifs, constitue un facteur de risque majeur pour les maladies cardiovasculaires. Cette étude, menée auprès de près de 90.000 participants, met en évidence un seuil critique de 10,6 heures de sédentarité quotidienne, au-delà duquel le risque d’insuffisance cardiaque et de mortalité cardiovasculaire s’accroît significativement.

Etudes expérimentales élucidant la signature métabolique du cœur urémique, mettant en évidence le rôle de la dysfonction mitochondriale dans l’hypertrophie ventriculaire gauche et l'insuffisance cardiaque dans la MRC, et indiquant de manière mécanistique que l'axe FGF23-FGFR4 joue un rôle important dans le remodelage métabolique cardiaque.

L’étude SPRINT démontrait l’avantage d’un traitement renforcé de l’HTA sur le risque de mortalité vasculaire. Le nombre de patients MRC dans l’étude était réduit. A partir de 2 bases de données incluant près de 100.000 patients MRC ayant un traitement pour l’HTA, l’analyse basée sur les critères de SPRINT montre des résultats proches pour la mortalité mais pas pour les événements secondaires potentiellement graves.

Depuis quelques années, la pratique des disciplines d’origine asiatique a une certaine vogue dans les pays occidentaux en raison de leur impact sur le bien-être et peut-être sur la santé. Dans cet article, les auteurs ont regardé par le biais d’une méta-analyse si le taï-chi, un art à la frontière entre le sport de combat et la gymnastique, aurait un intérêt pour réduire la pression artérielle et traiter les désordres lipidiques.

« Dans un contexte où l’AVC figure parmi les principales causes de décès et d’invalidité, une récente étude publiée dans JAMA Cardiology sur les potentiels bienfaits du sel enrichi au potassium pourrait être une piste prometteuse. D’ailleurs, plusieurs études ont démontré qu’une alimentation riche en potassium... »

« Une étude menée par l’Université de Californie à San Francisco (UCSF), publiée dans l’American Journal of Preventive Medicine, a suivi plus de 5100 adultes sur trois décennies. Les résultats révèlent une corrélation forte entre la baisse de l’activité physique et l’augmentation des cas d’hypertension », indique Val Leroy dans Cosmopolitan.

« Une étude de l'Institut Karolinska révèle que l'aspartame présent dans les sodas light, pourrait augmenter le risque de maladies cardiovasculaires. Les effets inflammatoires de cet édulcorant sur les vaisseaux sanguins provoqueraient un risque accru d'infarctus et d'AVC », fait savoir Catherine Cordonnier dans Top Santé.

La prise en charge de la myocardite repose sur un diagnostic précoce, une stratification en fonction de la gravité et un suivi prolongé pour prévenir les complications. L’approche thérapeutique varie selon l’étiologie et l’évolution clinique, allant du traitement symptomatique aux interventions spécialisées en cas de formes sévères.

Les troponines cardiaques à haute sensibilité sont des biomarqueurs clés dans le diagnostic de l’infarctus du myocarde et l’évaluation du risque cardiovasculaire. Cette étude compare directement la performance des troponines T et I, mettant en évidence des différences subtiles mais cliniquement pertinentes.

Cette étude analyse les données de 749 patients issus du "CAPS Registry", mettant en lumière la prévalence et la diversité des complications cardiaques associées au syndrome catastrophique des antiphospholipides (CAPS).

Les agonistes des récepteurs du peptide 1 de type glucagon (GLP-1RA) ont démontré une réduction de la survenue des événements cardiovasculaires dans le diabète de type 2. Qu’en est-il plus spécifiquement de cette classe thérapeutique pour les patients ayant avant déjà une maladie rénale chronique à l’initiation du traitement sur le risque cardiovasculaire et la néphroprotection ?

Un nombre élevé de médicaments prescrits est associé à plus de risque d’événement cardiovasculaire grave. Une analyse de registre, 30.000 patients hémodialysés, médiane de suivi supérieure à 6 ans.