Quelques études rétrospectives ont mis en avant le moindre risque incident de rhumatisme psoriasique chez les sujets ayant un psoriasis en plaques et traités par biomédicaments. Cette nouvelle étude italienne repose sur l’expérience du centre de Vérone.

Nombre de grandes maladies inflammatoires chroniques font l’objet aujourd’hui d’une stratégie dite ciblée (Treat to Target). D’un autre côté se développent des stratégies dites de prévention ou interception (Treat to Intercept). Le meilleur exemple est celui des sujets ayant un psoriasis et qui, recevant un traitement par biothérapies, seraient susceptibles de moins développer une atteinte rhumatologique.

On sait déjà que le lébrikizumab, anti-IL13 pur, apporte des améliorations statistiquement significatives chez les patients atteints de dermatite atopique (DA) modérée à sévère à la semaine 16 avec une réponse durable jusqu’à la semaine 52. Mais que se passe-t-il pour les patients qui n’atteignent pas tous les critères ?

« La dermatologue américaine Jing Jenny Liu a publié une vidéo sur son compte TikTok, dans laquelle elle partage les bons réflexes et au contraire les choses à ne surtout pas faire lorsque l'on est en pleine poussée d'eczéma », indique Constance Maria dans Femme Actuelle.

Investing 25 avril 2025
« VYNE Therapeutics Inc. (…) a annoncé (…) que la Food and Drug Administration (FDA) américaine a imposé une suspension clinique de l’essai de Phase 1b de VYN202, un candidat-traitement pour le psoriasis en plaques modéré à sévère », révèle le site.

« Souffrir d’eczéma ne signifie pas forcément fuir le soleil. À condition de respecter quelques précautions, les rayons UV peuvent même se révéler bénéfiques pour apaiser les peaux atopiques », indique Elena Bizzotto dans Top Santé.

Le risque d’événements indésirables cardiovasculaires majeurs (MACE) et d’événements thromboemboliques veineux (MVTE) chez les patients atteints de maladie psoriasique recevant des produits biologiques n’est toujours pas entièrement compris.

L'hidradénite suppurée (HS) est une maladie inflammatoire chronique dont la prévalence est maximale entre 30 et 39 ans et est la plus faible chez les moins de 18 ans. L’hidrosadénite suppurée pédiatrique est mal connue en raison de sa faible incidence, notamment chez les garçons.

L’hidradénite suppurée (HS) est une dermatose inflammatoire chronique pour laquelle les options thérapeutiques comportent les antibiotiques, la chirurgie et les biothérapies. L’adalimumab (anti-TNF) a été la première biothérapie à avoir l’AMM dans cette indication, puis le sécukinumab (anti-IL17A) et le bimékizumab (anti-IL17A et F).

Le Figaro Magazine 20 avril 2025
« Selon la Société française de dermatologie, les maladies de la peau touchent 16 millions de Français. Mais l’arrivée de médicaments innovants a changé la donne pour certaines de ces pathologies », assure Brigitte Fanny Cohen dans Le Figaro Magazine.

Dans Femme Actuelle, Sophie Viguier-Vinson fait le point sur le sujet avec Le Dr Laure Martinat, médecin, experte en phytothérapie et micronutrition, auteure du Guide Familial de la santé (Ed. Mango 2024).

La pelade est une cause auto-immune d’alopécie non cicatricielle. Mais il existe toujours une préoccupation au sujet des effets indésirables sur les 3 JAKi concernés, le baricitinib, le ritlecitinib et le deuruxolitinib (pas encore en Europe). Une étude a rapporté un risque accru d’événements cardiovasculaires (CV) et de cancers après l’utilisation du tofacitinib, entraînant des avertissements de l’agence européenne (EMA).