Les biothérapies utilisées dans l’hidradénite suppurée sont les anti-TNF, les anti-IL17 et les anti-IL 23. Les données de vraie vie concernant leur performance dans cette indication sont cependant limitées.

L’arsenal thérapeutique du psoriasis est aujourd’hui conséquent avec de nombreux traitements permettant un blanchiment complet ou quasi complet des lésions. Cependant certains patients sont en échec à de multiples lignes de traitement systémiques.

Le baricitinib, un inhibiteur oral sélectif de JAK 1 et 2, est approuvé pour traiter les adultes atteints de pelade (AA) sévère. C’est même la 1ère étude et le premier traitement à montrer une efficacité au cours de cette pathologie jusqu’à présent orpheline.

Le Système international de score de sévérité de l’hidradénite suppurée (IHS4) est un outil validé qui mesure les lésions inflammatoires, y compris les tunnels de drainage, dans les hidradénites suppurées (HS), de façon plus précise que le HiSCR. Il est d’ailleurs retenu comme le score essentiel dans les recos européennes tout récemment publiées.

Les lymphomes cutanés primaires à cellules B (PCBCL) sont des néoplasmes cutanés rares dont la littérature sur les options de traitement et les résultats associés est limitée. Cette étude visait à étudier et présenter les résultats du traitement dans le monde réel chez des patients atteints de PCBCL.

Les inhibiteurs de l’IL-23 ont considérablement amélioré la prise en charge du psoriasis en raison de leur grande efficacité, de leur profil d’innocuité favorable et de leur efficacité et maintenance à long terme. Les preuves tirées des essais cliniques et des données réelles ont démontré que, pour un sous-groupe de patients, il est possible d’allonger l’intervalle entre les doses d’IL-23i.

« Sur la base des résultats d’une nouvelle étude [publiée par la revue Clinical and Experimental Dermatology, menée par les chercheurs de la Yale School of Medicine aux États-Unis], les médecins devraient garder un œil sur la santé du cœur et des vaisseaux sanguins des patients atteints d’eczéma », fait savoir Elena Bizzotto dans Top Santé.

« La beauté se joue aussi dans l'assiette. Si certains aliments favorisent l'apparition d'imperfections, d'autres, au contraire, pourraient améliorer l'apparence de la peau. Des médecins vantent les mérites d'un ingrédient en particulier [les sardines] », révèle Zélie Amelot dans Femme Actuelle.

« Les enfants atteints de psoriasis développent les mêmes formes que les adultes (psoriasis en plaques, en gouttes…). Le psoriasis du visage est, cependant, plus rare chez l’enfant », indique Sylvie Dellus dans Santé Magazine.

Le psoriasis pustuleux palmo-plantaire est une dermatose inflammatoire impactant fortement la qualité de vie des patients et pour laquelle la prise en charge reste difficile, en l’absence de traitement ayant l’AMM dans cette indication. La stratégie thérapeutique actuelle comporte les soins locaux, les traitements systémiques classiques du psoriasis en plaques.

Les données concernant le taux d’incidence d’un psoriasis en plaques chez les patients ayant présenté un épisode de psoriasis en goutte sont hétérogènes, comprises entre 25,3 et 38,9% dans des petites études de cohorte, basées sur des données hospitalières.

L’hidradénite suppurée est une affection inflammatoire chronique qui conduit à la formation de fistules, altérant fortement la qualité de vie des patients. À ce stade, un traitement chirurgical est souvent nécessaire. Cependant, certaines zones en dehors des plis peuvent s’avérer difficiles à opérer, comme le visage, le cou ou la poitrine.