« Certains signes du diabète de type 2 peuvent se manifester dès le réveil, sans que l’on en ait conscience. Apprendre à les reconnaître peut permettre un diagnostic plus précoce et une meilleure prise en charge de la maladie », indique Elena Bizzotto dans Top Santé.

RMC 9 juillet 2025
« La Cour des comptes appelle à réformer la prise en charge du diabète. Elle dénonce davantage de cas et de dépenses liées, mais “des résultats sanitaires qui stagnent”. En 10 ans, les dépenses ont augmenté de presque 35%. Ça représente plus de 10 milliards d'euros », font savoir Solène Leroux avec Guillaume Descours sur le site de RMC.

« Déjà autorisé aux États-Unis, le teplizumab représente un véritable espoir pour les patients atteints d'un diabète de type 1 débutant. Il est actuellement testé au Royaume-Uni », indique Apolline Henry dans Top Santé.

« Vos pieds peuvent en dire long sur votre état de santé général, et certains symptômes peuvent sembler anodins, mais peuvent indiquer un problème plus grave. Si vous n'avez pas subi de test de dépistage du diabète et que vous présentez l'un de ces signes, il est conseillé d'en parler à un professionnel de santé », alerte Niamh McMillan, responsable de la pharmacie chez Superdrug, au Royaume-Uni.

« Une étude récente présentée à ENDO 2025, la réunion annuelle de l'Endocrine Society à San Francisco, en Californie, a révélé que trois régimes populaires peuvent contribuer à réduire le taux de sucre dans le sang et à favoriser la perte de poids chez les personnes souffrant d'obésité et de diabète de type 2 », fait savoir Emmanuelle Jung.

En sus du blocage du système rénine angiotensine, les SGLT2-inh ou les antagonistes du récepteur des minéralocorticoïdes ont montré individuellement une efficacité pour la néphroprotection des patients ayant une maladie rénale chronique associée au diabète. Dans cet essai randomisé, l’association des SGLT2-inh aux MRA apparait synergique pour réduire de façon plus importante l’albuminurie.

Jusqu'en 2017, le contrôle glycémique du diabète gestationnel reposait sur l'autosurveillance glycémique. Cependant, cette méthode présente des inconvénients, tels que la nécessité de plusieurs piqûres au doigt pour une seule mesure de glycémie et la vérification de la glycémie est intermittente, ce qui peut entraîner une mauvaise observance thérapeutique.

L’insulinothérapie est recommandée chez les patients diabétiques de type 2 lorsque les objectifs glycémiques ne sont pas atteints sous antidiabétiques oraux. Les limites principales de l’insulinothérapie chez ces patients sont le retard à l’adaptation des doses d’insuline ou inertie thérapeutique et la difficulté d’acceptation de l’injection quotidienne par les patients. Une dose fixe d’insuline hebdomadaire peut permettre de résoudre ces problèmes.

Le diabète pré-existant à la grossesse a doublé ces 20 dernières années, et complique 0,5% des grossesses en Europe. Nous le savons tous, le diabète augmente la mortalité et morbidité maternelle et périnatale. Il est également bien établi que l’équilibre pré et péri-conceptionnel diminue ces risques. En plus de l’équilibre glycémique, l'impact croissant de l'obésité sur l'issue de la grossesse souligne l'importance d'une nutrition optimale 

« À partir du lundi 23 juin, votre médecin généraliste pourra vous prescrire un médicament appartenant à la famille des analogues du GLP-1 indiqués dans le traitement de l’obésité », fait savoir Johanna Amselem dans Santé Magazine.

Les traitements mensuels contre l'obésité peuvent offrir un traitement durable aux personnes atteintes de cette maladie chronique. Les traitements actuels, tels que le sémaglutide et le tirzépatide, sont sous la forme d’une injection hebdomadaire entraînant une réduction de poids significative. Cependant, l'accès et l'observance restent des obstacles au traitement.

A ce jour, les preuves sont suffisantes pour identifier l'obésité comme un facteur de risque de cancer. Les mécanismes pathogéniques possibles impliqués semblent être différents pour chaque néoplasme : altération de la fonction des adipocytes, action de l'insuline via les IGF1-R (prolifération tumorale), stimulation des médiateurs inflammatoires par les adipokines.