« Une nouvelle étude suédoise [de l'Université de Linköpin] révèle l'ampleur du problème : près de 6 personnes sur 10 atteintes de diabète de type 2 souffrent également de stéatose hépatique non alcoolique, également appelée maladie du foie gras... »

Radio France 19 juin 2025
« En France, 300.000 personnes sont touchées par le diabète de type 1, qui nécessite des piqûres d’insuline tous les jours. L’association Sugar Palace organise des stages de surf pour aider ces malades à mieux appréhender leur maladie et leur corps », indique Victor Dhollande sur le site de Radio France.

« Des chercheurs de l’Université de Cambridge ont récolté des données de près de 2 millions de personnes à travers le monde pour étudier les liens entre consommation de viande rouge et viande transformée et le développement du diabète de type 2 », fait savoir Agathe Mourey dans Top Santé.

On sait que les inhibiteurs du cotransporteur sodium-glucose de type 2 (SGLT2-inh) réduisent la pression artérielle chez les diabétiques de type 2 (DT2) et les insuffisants rénaux. Cette étude démontre que cet effet hypotenseur est clairement indépendant de l’excrétion sodée et des variations de la volémie au cours du DT2, avec ou sans maladie rénale chronique.

Les agonistes des récepteurs du GLP-1 sont des médicaments bien établis pour le traitement pharmacologique du diabète de type 2 (DT2). L'utilisation de ces médicaments offre de multiples effets bénéfiques au-delà de la réduction de la glycémie, notamment une réduction du poids corporel et une protection contre les maladies cardiovasculaires (CV).

La gestion du poids est évidemment majeure pour le traitement de la glycémie. On ne présente plus le sémaglutide, analogue de GLP1 dont l’utilisation permettait, dans une étude de phase III de 68 semaines portant sur des adultes en surpoids ou obèses et atteints de diabète de type 2 (DT2), une réduction moyenne du poids corporel de 9,6 %.

« La prise en charge du diabète et de l'obésité connaît une véritable révolution avec l'arrivée sur le marché [du sémaglutide et du tirzépatide]. Très efficaces pour perdre du poids, ils posent néanmoins problème à bien des égards. Le gouvernement souhaite pourtant élargir leur accès », indique Oihana Gabriel dans Notre Temps.

« Comme le rappelle la Fédération Française des Diabétiques, les fruits font partie intégrante d'une alimentation équilibrée. Les personnes diabétiques n’ont donc aucune raison de se priver des fruits », indique Esther Buitekant dans Femme Actuelle.

« Une nouvelle étude parue dans la revue scientifique Nature Food souligne l’importance de la diversité des flavonoïdes présents dans l’alimentation », indique Agathe Bourdarias dans Femme Actuelle.

« Les phytostérols, présents dans des aliments comme les noix et les huiles végétales, pourraient réduire de 10% le risque de maladies cardiaques et de diabète, selon une étude américaine », fait savoir Emmanuelle Jung dans Top Santé.

Les agonistes des récepteurs du peptide 1 de type glucagon réduisent les événements rénaux et les complications cardiovasculaires (CV) pour les patients ayant une maladie rénale chronique peu ou moyennement avancée. Cette étude rétrospective plaide pour leur utilisation lorsque la fonction rénale est beaucoup plus altérée et notamment pour les MRC de classe IV ou V avant dialyse.

L’exposition à un diabète gestationnel (DG) a été associée à un risque de croissance plus rapide de l’IMC de l’enfance, indicateur de la masse grasse, en comparaison des enfants non exposés. Cette exposition à un DG a aussi été associée à des anomalies des marqueurs de l’homéostasie glucidique.