Les inégalités sociales constituent un problème majeur en matière de diabète de type 2 tant en termes de prévalence que de complications associées, et semblent dépendre du sexe et de l’origine. L'OMS a reconnu le rôle central de la littératie en santé comme nouveau déterminant de la santé dans la prévention et le contrôle des maladies non transmissibles.

« D’après une étude [publiée dans la revue scientifique PNAS], les sources lumineuses pendant la nuit pourraient augmenter les risques [de maladies cardiovasculaires et de diabète] », indique Anissa Nassr dans Femme Actuelle.

« Selon une nouvelle étude [parue début avril dans l’American Journal of Clinical Nutrition], une consommation élevée de lait et de fromage non fermentés au quotidien pourrait augmenter les risques de diabète de type 2 », fait savoir Raphaëlle de Tappie dans Top Santé.

« L’effet cocktail semble particulièrement nocif quand il s’agit d’additifs alimentaires, si l’on en croit cette nouvelle étude de l’Inserm », révèle Hélène Bour dans Top Santé.

Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil est un trouble du sommeil fréquent particulièrement chez les personnes de plus de 50 ans et en surpoids. Le SAOS est une maladie chronique multisystémique avec des conséquences multiples telles qu’une majoration du risque cardiovasculaire, du risque neurocognitif mais aussi une perturbation du métabolisme glucidique.

Le carcinome hépatocellulaire est la 4e cause de mortalité par cancer dans le monde. Chez les patients atteints de cirrhose, 20 à 40% des patients ont un diabète qui augmente le risque de développer un CHC. Mais il n’est actuellement pas déterminé si l'hyperglycémie à jeun non diabétique est également associée à une augmentation du risque de CHC dans cette population.

La fréquence des hypoglycémies est de 0,2 à 2% en hospitalisation, 4 à 17% en auto-déclaration mais il n’y avait pas de données sur les hypoglycémies sévères en France. L’objectif de l’étude est de décrire la fréquence, la prise en charge et les facteurs associés des hypoglycémies sévères chez les personnes adultes vivant avec un diabète de type 1 ou 2 en France hexagonale en 2019.

La détresse liée au diabète est une réaction émotionnelle face à la gestion de la maladie. Elle est fréquente, 1 patient sur 5 porteurs d’un diabète de type 2 et 1 patient sur 2 patients ayant un diabète de type 1 dans la cohorte SFDT1.

Les agonistes des récepteurs du glucagon-like peptide de type 1 sont une nouvelle classe thérapeutique pour la prise en charge du diabète de type 2 et de l’obésité. En plus de leurs effets bénéfiques sur le métabolisme glucidique, ils apportent une protection cardiovasculaire et rénale. Dans cet article de synthèse, les auteurs précisent leur mode d’action et les principaux bénéfices que l’on peut observer sur le cœur et le rein.

Les agonistes des récepteurs du GLP-1(AR-GLP1) sont des agents très utilisés pour le diabète de type 2 et l'obésité. Ils ralentissent notamment la vidange gastrique et la motilité de l'intestin grêle. Cela permet de limiter les excursions glycémiques postprandiales et de réduire l'absorption des triglycérides.

Le diabète de type 2 est fortement associé au surpoids et à l’obésité. Aussi il n’est pas rare qu’au diagnostic, les patients demandent quel pourcentage de perte de poids pourrait leur permettre de voir disparaitre le diabète. Cette méta-analyse cherche à répondre à cette question.

« Des études récentes révèlent que [le gingembre], surtout connu pour son effet sur les nausées et les troubles digestifs, aurait aussi des effets significatifs sur la réduction de la glycémie et l'amélioration de la résistance à l'insuline », fait savoir Catherine Cordonnier dans Top Santé.