Le phimosis est plus fréquent chez les enfants, mais son deuxième pic d'incidence est observé après la soixantaine, avec une prévalence estimée entre 0,5 % et 13 %. À cet âge de la vie, cette affection est souvent causée par une inflammation et une infection génitale. Les hommes atteints de diabète de type 2 (DT2) ont un risque trois fois plus élevé de balanite et jusqu'à sept fois plus élevé de phimosis.

« Des chercheurs chinois de l’Université de Tianjin proposent une autre solution, moins invasive, basée sur le souffle, qui s’apparente à un test d’alcoolémie. Leurs résultats ont été publiés en ligne dans la revue Chemical engineering Journal le 13 juin 2025 », fait savoir Agathe Mourey dans Top Santé.

« C’est lors de la 97ᵉ réunion annuelle de l’Endocrine Society, à San Diego, qu’une équipe de chercheurs a présenté des résultats inattendus. Leur étude portait sur des rats diabétiques traités à la metformine, un médicament couramment utilisé contre le diabète. Les scientifiques ont aussi testé un extrait d’un légume que nous connaissons tous : l’oignon », fait savoir Luce Picat dans Grazia.

« Une approche combinant alimentation équilibrée, modération calorique et exercice physique accessible, pourrait constituer une arme de prévention efficace et durable contre le diabète de type 2 », indique Elena Bizzotto dans Top Santé.

La maladie stéatosique hépatique associée à un dysfonctionnement métabolique (MASLD) a été largement étudiée dans le diabète de type 2 (DT2) ; dans le DT1, la fréquence est estimée à 20 %. Le risque d’évolution vers la stéatohépatite associé à un dysfonctionnement métabolique (MASH) est important, impliquant de nombreux processus physiopathologiques dont la lipotoxicité et l’inflammation hépatique.

« De plus en plus de patients alertent sur un effet secondaire, rare mais grave, lié à certains médicaments phares contre le diabète et la perte de poids. Le symptôme en question ? Une perte de la vue soudaine et irréversible », révèle Valeria Lotti dans Top Santé.

Malgré les progrès dans l’administration de l’insuline et la surveillance glycémique, de nombreux patients diabétiques de type 1 (DT1) n’atteignent pas leurs objectifs glycémiques. De plus, la prévalence de l’obésité au sein de la population DT1 augmente. En cas de DT1 associé à une obésité, nous sommes souvent tentés de prescrire des analogues du GLP-1.

Il est connu que l’hypoglycémie peut induire des arythmies mortelles chez les diabétiques. Dans ce travail, les auteurs documentent le risque de troubles rythmiques induits par l’hypoglycémie chez des hémodialysés diabétiques mais également en l’absence de diabète.

Au cours des dernières décennies, une augmentation mondiale du taux d'incidence du diabète de type 1 (DT1) chez les enfants a été constatée. L'Europe a le taux le plus élevé au monde, avec de fortes différences régionales. On estime que le nombre de nouveaux cas en Europe a augmenté de 3,4 % par an entre 1989 et 2013.

« Certains signes du diabète de type 2 peuvent se manifester dès le réveil, sans que l’on en ait conscience. Apprendre à les reconnaître peut permettre un diagnostic plus précoce et une meilleure prise en charge de la maladie », indique Elena Bizzotto dans Top Santé.

RMC 9 juillet 2025
« La Cour des comptes appelle à réformer la prise en charge du diabète. Elle dénonce davantage de cas et de dépenses liées, mais “des résultats sanitaires qui stagnent”. En 10 ans, les dépenses ont augmenté de presque 35%. Ça représente plus de 10 milliards d'euros », font savoir Solène Leroux avec Guillaume Descours sur le site de RMC.

« Déjà autorisé aux États-Unis, le teplizumab représente un véritable espoir pour les patients atteints d'un diabète de type 1 débutant. Il est actuellement testé au Royaume-Uni », indique Apolline Henry dans Top Santé.