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Toutes les actualités scientifiques

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MICI
Vos patients ont lu
Source : Gastroentero.net - La newsletter Actu mensuelle juin 2025
« "Il favorise les maladies inflammatoires chroniques" : cet additif cancérigène n'est pas interdit, malgré sa dangerosité pour notre santé »
« Invisible mais omniprésent, l’additif E471, aussi appelé mono et diglycérides d’acides gras, est largement utilisé dans l’industrie agroalimentaire. S’il facilite la conservation et la texture des produits, il est aujourd’hui pointé du doigt pour ses effets potentiellement nocifs sur la santé », met en garde Pleine Vie.
Troubles fonctionnels intestinaux
Vos patients ont lu
Source : Gastroentero.net - La newsletter Actu mensuelle juin 2025
« Troubles digestifs : consommer cet aliment réduit les ballonnements et le risque de cancer, selon une étude »
Gala 6 juin 2025
« D’après le créateur de contenu sur TikTok Meals With Max, l’épinard est un «superaliment» regorgeant «de vitamines A, D, E et K, ainsi que de nombreux minéraux. [Il a] des propriétés anticancéreuses et regorgent d’antioxydants» », indique Pauline Bosquet dans Gala.
Cancer côlo-rectal
Vos patients ont lu
Source : Gastroentero.net - La newsletter Actu mensuelle juin 2025
« Pendant 10 ans, j'ai ignoré ce symptôme qui apparaissait aux toilettes par peur du médecin : j'avais en fait une maladie du côlon »
« Ancienne participante de l’émission anglaise The Only Way Is Essex, Chloe Meadows a raconté que sa peur des médecins et des examens médicaux l’avait poussée à ignorer, pendant dix ans, les signes d’une affection intestinale sérieuse », indique Valeria Lotti dans Top Santé.
MICI
Vos patients ont lu
Source : Gastroentero.net - La newsletter Actu mensuelle juin 2025
« Ce neuroscientifique a le secret pour lutter contre l'inflammation »
« Un neuroscientifique américain [le Dr. Kevin Tracey (professeur de neurochirurgie à la Zucker School of Medicine)] propose une nouvelle façon de traiter les maladies inflammatoires : la stimulation du nerf vague », fait savoir Apolline Henry dans Top Santé.
MICI
Vos patients ont lu
Source : Gastroentero.net - La newsletter Actu mensuelle juin 2025
« Maladies inflammatoires chroniques de l'intestin : retarder l'évolution des lésions grâce aux biothérapies »
« Dix millions de personnes sont concernées par les Mici dans le monde, et 300.000 en France. Soit 8000 nouveaux cas par an, près d'un patient par heure », rappelle Sylvie Riou-Milliot dans Sciences et Avenir.
Prévalence et pronostic d'une MICI minime : étude de population (1997-2020)
MICI
Article Commenté
Source : Clin Gastroenterol Hepatol. 2024 Dec 13:S1542-3565(24)01071-1.
Prévalence et pronostic d'une MICI minime : étude de population (1997-2020)
Pr Xavier Roblin CHU - Saint-Etienne
Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI), que sont la rectocolite hémorragique et la maladie de Crohn, sont des affections hétérogènes, allant de formes légères à sévères. La définition d’une forme minime n’est pas consensuelle et son évolution dans le temps est souvent variable d’une étude à l’autre.
Surveillance de l'œsophage de Barrett : endoscopie systématique ou seulement au besoin ?
Cancer de l'oesophage et de l'estomac
Article Commenté
Source : Gastroenterology. 2025 Apr 1:S0016-5085(25)00587-6.
Surveillance de l'œsophage de Barrett : endoscopie systématique ou seulement au besoin ?
Dr Heithem Soliman Hôpital Louis Mourier - Colombes
La surveillance endoscopique de l’EBO améliorerait le dépistage et la survie de l’ADK de l’œsophage. Cependant, cette stratégie recommandée n’a pas correctement été évaluée. De manière surprenante, cette étude randomisée montre qu’une stratégie de surveillance à la demande ne diminue pas la survie des patients avec EBO, ni le taux de détection de cancer.
Prise en charge des fistules basses après chirurgie rectale : le consensus des équipes françaises
Autres en gastro-entérologie
Article Commenté
Source : World J Surg. 2025 May 21. doi:10.1002/wjs.12634.
Prise en charge des fistules basses après chirurgie rectale : le consensus des équipes françaises
Dr Joël Pitre Clinique Mutualiste du Médoc - Lesparre
Les fistules anastomotiques restent les complications les plus fréquentes et les plus graves après chirurgie du cancer du rectum. En effet, elles impactent profondément le pronostic à court et long termes ainsi que la qualité de vie des patients.
Intérêt de l'appendicectomie chez les patients porteurs d'une rectocolite hémorragique : résultats de l'étude prospective ACCURE
MICI
Article Commenté
Source : Lancet Gastroenterol Hepatol. 2025 ; 10(6):550-561.
Intérêt de l'appendicectomie chez les patients porteurs d'une rectocolite hémorragique : résultats de l'étude prospective ACCURE
Dr Joël Pitre Clinique Mutualiste du Médoc - Lesparre
La rectocolite hémorragique (RCH) est une affection chronique dont la cause n’est actuellement pas connue et dont la physiopathologie est caractérisée par une réponse inflammatoire inappropriée au sein du côlon et du rectum, sous l’influence de facteurs environnementaux chez des sujets ayant une prédisposition génétique.
Cancer
Compte Rendu
Source : American Society of Clinical Oncology (ASCO) 2025 Annual Meeting
CABINET : qualité de vie sous cabozantinib vs placebo dans les TNE avancées en progression (phase III)
Pr Côme Lepage CHU - Dijon
Le cabozantinib est un inhibiteur oral de c-MET, de RET, du VEGFR, et de AXL ce qui lui permet d’avoir à la fois un effet anti-angiogénique et antiprolifératif. Cette molécule a déjà montré, dans des essais cliniques, un effet antitumoral dans plusieurs types de cancers, et en particulier dans les NET G1/2 avancées.
Cancer côlo-rectal
Compte Rendu
Source : American Society of Clinical Oncology (ASCO) 2025 Annual Meeting
Rechallenge du cétuximab dans le CCRm RAS WT prétraité ayant progressé en 1re ligne sous FOLFIRI + cétuximab : résultats de l'essai randomisé de phase III FIRE-4 (AIO KRK-0114)
Pr Jean-Marc Phelip CHU - Saint-Etienne
Plusieurs études de phase II, le plus souvent non randomisées, en ligne avancées du CCRm RAS WT, ont suggéré un bénéfice du rechallenge de l'anti-EGFR en termes de SSP et d’ORR chez des patients en échec d’un traitement de 1re ligne par chimiothérapie associée à un anti-EGFR.
Cancer côlo-rectal
Compte Rendu
Source : American Society of Clinical Oncology (ASCO) 2025 Annual Meeting
Résultats de la survie globale du FOLFOXIRI + panitumumab vs FOLFOX/pan dans le CCRm RAS et BRAF WT non résécable (essai de phase III TRIPLETE)
Pr Jean-Marc Phelip CHU - Saint-Etienne
Les résultats préliminaires de l’essai TRIPLETE communiqués en 2022, avaient montré une efficacité remarquable de l'association d’un triplet de chimiothérapie de type FOLFOXIRI associé à un antiEGFR (cetuximab ou panitumumab), mais identique en terme de SSP et de taux de réponse par rapport à un doublet de chimiothérapie (FOLFOX/FOLFIRI) associé à un anti-EGFR notamment dans les CCRm coliques gauches RAS et BRAF WT (88 % des patients).
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