Malgré la mise en œuvre de la chimiothérapie adjuvante (ACT), plus de la moitié des patients atteints d'un cancer colorectal (CC) de stade III récidivent. Les patients présentant un ctDNA détectable postopératoire ont un risque de récidive 2 à 3 fois plus important.

Les anticorps anti-VEGF associés à la chimiothérapie font partie des traitements de première intention du cancer colorectal métastatique (mCRC) non résécable. Aucun essai randomisé de phase III n'a évalué l'association anti-VEGF-TKI oral et chimiothérapie dans ce contexte.

Gala 14 mai 2025
« Dans une vidéo TikTok [repérée par SurreyLive], le Dr Karan Rajan conseille de consommer en plus grande quantité ces trois aliments afin d’améliorer la santé intestinale », indique Fanny Bardin dans Gala.

« Le premier essai français de transplantation fécale [(TMF)] face au syndrome de l’intestin irritable va démarrer avant la fin de l’année. Il va concerner plus d’une centaine de patients, tous atteints de formes sévères », annonce Sylvie Riou-Milliot dans Sciences et Avenir.

« Le 19 mai, c’est la Journée mondiale des maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (ou MICI) qui regroupent la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique », rappelle Julie Giorgetta dans Femme Actuelle.

« En France, 300.000 personnes sont atteintes de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (MICI), qui rassemblent la rectocolite hémorragique et la maladie de Crohn. Selon l'Inserm, 60% des MICI sont des maladies de Crohn », indique Anaïs Chabalier dans Femme Actuelle.

La cholécystectomie par coelioscopie peut s’avérer complexe en cas d’inflammation sévère, d’obésité, de chirurgie préalable, d’hépatopathie ou d’anomalies anatomiques. L’identification précise du triangle de Calot et de ses éléments, zone clé pour éviter la survenue d’une plaie des voies biliaires, définit la vision critique de sécurité.

Depuis longtemps, il avait été rapporté que l’appendicectomie, pratiquée pour appendicite aiguë avant l’âge de 16 ans, avait un rôle protecteur vis-à-vis du risque de développer une RCH. Il est, de plus, connu que certains patients, porteurs de RCH, présentent, en endoscopie, le signe du halo, d’ailleurs de pronostic péjoratif dans l’évolution de la RCH.
 

L’inhibition de l’interleukine-23 est efficace dans le traitement de la rectocolite hémorragique et la maladie de Crohn. Trois anti-IL23 ont été étudiés en phase 3 tant dans la RCH que dans la MC. Actuellement, nous avons une AMM pour le mirikizumab dans la RCH en troisième ligne après anti-TNF et védolizumab et la possibilité de prescrire le risankizumab en seconde ligne.

Même en cas de marges chirurgicales saines, la majorité des patients opérés d’un adénocarcinome canalaire du pancréas (ACCP) développent rapidement des métastases systémiques, suggérant la présence de micro-métastases non détectées au moment du diagnostic ou une dissémination tumorale favorisée par la chirurgie elle-même.

La surexpression/amplification d'ERBB2 est retrouvée dans moins de 5 % des cas de cancers colorectaux métastatiques, majoritairement RAS et BRAF WT. Plusieurs études exploratoires d’essais thérapeutiques ont suggéré une efficacité limitée du blocage de l’EGFR dans ce sous-groupe de patients qui, par ailleurs, semblent bénéficier du double blocage d’HER2.

Le cancer de l’œsophage connaît une incidence croissante, notamment en raison de l’augmentation des adénocarcinomes. Malgré les progrès des traitements et de la prise en charge périopératoire, le pronostic global demeure sombre, avec un taux de survie à 5 ans d’environ 20–25 %.