Dans l’étude pivotale NATALEE, qui accuse un retard de 2 ans par rapport à MonarchE, des patientes (n = 5101) atteintes d'un cancer du sein RH+/HER2- ont été randomisées 1:1 entre hormonothérapie seule par anti-aromatase (+/- analogue de la GnRH) durant minimum 5 ans vs HT + ribociclib à la posologie de 400 mg/j, 21 j sur 28 j, durant 3 ans.

L’étude pivotale MONARCH-E évalue le bénéfice de l’ajout de l’abémaciclib durant 2 ans, en plus d’une hormonothérapie (majoritairement inhibiteur de l’aromatase +/- analogue de la GRH) chez 5 637 patientes ayant un cancer du sein RH+/HER2- et à haut risque de rechute en raison d’une atteinte ganglionnaire axillaire ≥ 4 OU pN1a (1 à 3N+) en cas de tumeur de grade 3 ou de taille ≥ à 5 cm.

Les inhibiteurs du cotransporteur sodium-glucose de type 2 (iSGLT2), les analogues du récepteur du GLP1 (AR-GLP1) et les inhibiteurs de la dipeptidyl peptidase-4 (iDPP4) améliorent l'hyperglycémie, tandis que les iSGLT2i et les AR-GLP1 réduisent le risque d'événements cardiovasculaires majeurs (MACE) chez les patients atteints de diabète de type 2 (DT2). On ignore si l'efficacité varie selon l'âge ou le sexe.

« En France, le cancer du poumon est le 3ème cancer le plus fréquent et la première cause de mortalité par cancer. (…) Les premiers symptômes qui alertent les patients sont généralement une gêne respiratoire persistante, des expectorations sanglantes, ainsi qu’une douleur au niveau de la paroi thoracique. Mais d’autres signaux cutanés, plus rares, doivent également être pris au sérieux », fait savoir Valeria Lotti dans Top Santé.

« La menace s’annonce mondiale et massive : selon une nouvelle étude [du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC], la mortalité du cancer du sein pourrait bondir de 68% d'ici 2050. La France, déjà très touchée, reste en première ligne », révèle Pleine Vie.

« Certains cancers du sein sont-ils dus au travail ? », fait savoir Sciences et Avenir. « En France, où une agence sanitaire planche sur le sujet, seules quelques femmes ont réussi à faire reconnaître l'origine professionnelle de leur maladie, un angle mort des politiques publiques », estiment des spécialistes.

« Classée probablement cancérogène pour l'homme, la viande rouge fait l'objet de nombreuses études et méta-analyses visant à déterminer ses implications dans l'apparition de cancers », indique Lise Lafaurie dans Santé Magazine.

« Le cancer du sein est souvent associé à la découverte d’une boule au niveau du sein ou de l’aisselle. En réalité, les signes peuvent être beaucoup plus discrets… Voire totalement invisibles », indique Manon Duran dans Santé Magazine.

Une intensification thérapeutique par inhibiteur de CDK4-6 (ou PARP inhibiteur en cas de mutation germinale BRCA) est désormais indiquée, en plus de l’association chimiothérapie-hormonothérapie chez les patientes considérées comme à haut risque de cancer du sein RH+/HER2- essentiellement sur la base de trois paramètres clinico-pathologiques que sont le stade tumoral (pT et pN) et le grade SBR (3 vs ½ ).

La grossesse chez la femme dialysée demeure un événement rare mais désormais réalisable grâce à l’intensification des schémas de dialyse. La baisse de la fertilité est liée à la dysfonction gonadotrope, à l’anovulation et aux anomalies endométriales.

« Une équipe de chercheurs français [pilotée par des scientifiques de l'Institut Curie, du CNRS et de l'Inserm] a mis au point un traitement capable de détruire les cellules qui augmentent les risques de récidives dans les cancers les plus meurtriers », fait savoir Oihana Gabriel dans Notre Temps.

Le zanidatamab est un anticorps bispécifique ciblant HER2, qui se lie simultanément à deux domaines distincts de l’oncoprotéine, déclenchant plusieurs mécanismes : induction d'une cytotoxicité dépendante du complément et d'autres effets à médiation immunitaire, prévention de la dimérisation de HER2 ainsi que de la signalisation intracellulaire et facilitation de l'internalisation de HER2 et de sa dégradation ultérieure.