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Neurologie /
× SEP et maladies apparentées

788 articles dans cet axe pathologique
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Étude D-Lay MS : efficacité de la vitamine D à forte dose sur l'activité inflammatoire après un syndrome clinique isolé évocateur de sclérose en plaques
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Source : JAMA. 2025 Mar 10:e251604.
Étude D-Lay MS : efficacité de la vitamine D à forte dose sur l'activité inflammatoire après un syndrome clinique isolé évocateur de sclérose en plaques
Pr Arnaud Kwiatkowski - Neurologue - Hôpital Saint Vincent de Paul - Lille le 9 mai 2025
Enfin, l’étude française de phase 3, D-Lay MS, confirme l’efficacité sur l’activité inflammatoire d’un traitement par doses fortes bimensuelles de vitamine D chez les patients présentant un syndrome clinique isolé évocateur de sclérose en plaques.
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Articles scientifiques (698)
Cas cliniques (33)
HAS (5)
Vos patients ont lu (52)
Article Commenté
Source : Medicine (Baltimore). 2025 ; 104(38):e44788.
La spondyloarthrite axiale est-elle un facteur causal de la sclérose en plaques ?
Dr Jean-Guillaume Letarouilly - Rhumatologue - Hôpital Roger-Salengro - Lille le 28 novembre 2025
La spondylarthrite axiale et la sclérose en plaques sont deux maladies inflammatoires chroniques partageant des caractéristiques immunologiques et génétiques. Bien que des observations cliniques et des études épidémiologiques aient suggéré une association entre ces pathologies, la nature exacte de leur relation reste incertaine.
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Source : JAMA Network Open. 2025;8(7):e2520142.
Niveau d'éducation, facteurs de risque liés au style de vie, choix des traitements et progression dans la SEP
Pr Gilles Defer - Neurologue - CHU - Caen le 10 novembre 2025
Bien que des études antérieures aient suggéré une association entre un faible niveau d'éducation (reflet indirect du statut socio-économique) et la progression de la SEP, les mécanismes sous-tendant cette association restent à clarifier. En particulier tout ce qui concerne les liens avec les styles de vie et les facteurs de risque qui y sont associés sont particulièrement importants.
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Source : Neurology. 2025 ; 105(4):e213907.
Vers l'égalité réelle entre les femmes et les hommes : le choix du traitement de fond de la SEP toujours en question !
Pr Arnaud Kwiatkowski - Neurologue - Hôpital Saint Vincent de Paul - Lille le 10 novembre 2025
Une sous-exposition des femmes aux traitements de fond de la sclérose en plaques (SEP) est confirmée dans cette cohorte nationale française au cours de 3 dernières décennies, même si elle se réduit progressivement. Jusqu’en 2023, l’utilisation des traitements de haute efficacité restait encore inférieure chez les femmes, reflet d’une inertie thérapeutique.
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Source : JAMA Neurol. 2025 ; 82(10):994-1003.
Quelles sont les meilleures stratégies thérapeutiques pour gérer le risque de poussée de SEP lors d'une grossesse et du post-partum ? Réponses issues de la cohorte OFSEP
Pr Arnaud Kwiatkowski - Neurologue - Hôpital Saint Vincent de Paul - Lille le 10 novembre 2025
Une meilleure gestion des traitements de fond de la sclérose en plaques est possible pour limiter le risque inflammatoire dans la période de la grossesse et du post-partum. Certaines stratégies doivent être favorisées, alors que d’autres sont à écarter sans aucun doute devant les risques importants pour les femmes.
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Source : Behav Neurol. 2025 Sep 15:2025:3788122.
Apathie dans les troubles neuropsychiatriques : caractéristiques cliniques, mécanismes neurobiologiques et stratégies thérapeutiques
Pr Harold Mouras - Neurologue - Laboratoire de Neurosciences Fonctionnelles et Pathologies (LNFP) EA 4559, CHU - Amiens le 30 septembre 2025
Comme l'évoquent désormais nombre d'études, les symptômes des maladies neurodégénératives s'étendent au-delà de la sphère cognitive et par exemple affectent largement les sphères affective et motivationnelle. Comme le rappellent les auteurs de cette revue de littérature, dans cette dernière, l'apathie est un syndrome neuropsychiatrique courant mais souvent sous-diagnostiqué, caractérisé par une diminution de la motivation et une réduction des comportements orientés vers un objectif dans plusieurs domaines.
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Source : Eur J Neurol. 2025 ; 32(5):e16583.
Risque d'évolution vers une SEP secondairement progressive après un traitement précoce de haute efficacité
Pr Arnaud Kwiatkowski - Neurologue - Hôpital Saint Vincent de Paul - Lille le 2 juillet 2025
L’étude SPAM menée sur les données françaises de l’OFSEP soutient l’utilisation précoce des traitements de haute efficacité, et précise les principaux facteurs de risque cliniques d’évolution vers une SEP secondairement progressive malgré cette stratégie.
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Source : J Neurol. 2025 ; 272(4):316.
Apport limité de l'IRM médullaire systématique versus l'IRM cérébrale réalisée seule dans le suivi des patients SEP, avec ou sans activité
Pr Gilles Defer - Neurologue - CHU - Caen le 2 juillet 2025
L’utilité du suivi systématique par IRM de la moelle épinière (IRM médullaire) reste débattue. Bien que les lésions de la moelle épinière soient fréquentes dans la SEP (80 % des cas), et alors que les recommandations n’indiquent pas de recourir à cette stratégie, la valeur ajoutée de l’IRM médullaire additionnelle vis-à-vis de l’IRM cérébrale réalisée seule dans le suivi des patients SEP RR n’est pas clairement statuée.
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Source : Brain Behav. 2025 Mar;15(3):e70310.
Comparaison des fonctions cognitives des patients MOGAD (MOG associated Disease) et sclérose en plaques (SEP)
Dr Inès Masmoudi - Neurologue - CHU - Amiens le 9 mai 2025
Similarités de l’atteinte cognitive SEP et MOGAD. Bien qu’il existe des similitudes sur les présentations cliniques entre MOGAD et sclérose en plaques (SEP), les modes évolutifs diffèrent. Les profils cognitifs des patients atteints de MOGAD sont peu connus.
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Article Commenté
Source : Brain 2025 : 148;626-634
Incidence, prévalence, sexe ratio et âge moyen de la SEP au Danemark sur plus de 70 ans
Pr Gilles Defer - Neurologue - CHU - Caen le 9 mai 2025
La compréhension des caractéristiques démographiques de la population atteinte de SEP, telles que l'âge moyen, la répartition par sexe, l'incidence et la prévalence, est essentielle pour adapter les stratégies de soins, planifier les coûts économiques et anticiper le fardeau sociétal de la maladie. Les études nationales reposant sur des données fiables recueillies sur des décennies sont rares.
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Cas Clinique
Troubles cognitifs subaigus chez un homme de 55 ans
Mme Frédérique Toulgoat - Radiologue - CHU de Nantes - LE KREMLIN BICETRE le 28 février 2012
Un homme de 55 ans présentait des troubles cognitifs d’installation subaiguë se caractérisant essentiellement par une amnésie antérograde associés à une amnésie-agueusie, sans troubles dysexécutifs ni praxiques ni du langage. Il ne présentait pas d’antécédent remarquable, était célibataire, voyageant fréquemment en Asie. Le bilan biologique retrouvait une discrète lymphopénie, pas de syndrome inflammatoire. Le dosage des TSH, folates et vitamines B12 était normal ainsi que les sérologies VIH, VHB et VHC. L’IRM encéphalique montrait de multiples
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Cas Clinique
Déficit neurologique brutal chez une femme jeune
Dr Alexis Floret - Neurologue - CHU de Nantes - Nantes le 25 novembre 2011
Mme B, 28 ans, sans antécédent notable, consulte pour paresthésies de l’hémicorps gauche depuis 5 jours avec survenue brutale il y a 2 jours d’un déficit moteur à prédominance brachio-faciale gauche. Une IRM est réalisée, retrouvant plus d’une dizaine d’hypersignaux flair/T2 de la substance blanche notamment en périventriculaire et sous-cortical (3 critères de Barkoff sur 4 réunis compte tenu de l’absence de lésion sous-tentorielle).
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Cas Clinique
Troubles de conscience chez un enfant de 3 ans
M. Olivier Morla - CHU de Nantes - Saint-Herblain le 27 septembre 2011
Au décours d'une banale rhino-pharyngite, le petit G., 3 ans, était retrouvé au matin hypotonique, geignard avec une perte d’urine. A l’arrivée aux urgences, l'enfant était fébrile (39°C), et présentait des troubles de conscience avec un score de Glasgow à 10. L'examen clinique retrouvait des réflexes ostéo-tendineux vifs et un réflexe cutané plantaire en extension à droite. Sur le bilan biologique, il existait une hyperleucocytose (20.500 leucocytes/mm3), une légère élévation de la CRP (15mg/ml),
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Cas Clinique
Déficit multifocal d'apparition subaiguë chez un homme jeune
M. Romain Tonnelet - CHU de Nantes - SAINT HERBLAIN le 26 juillet 2011
Monsieur H, âgé de 32 ans, est adressé aux urgences pour prise en charge d’un syndrome confusionnel évoluant depuis 10 jours associé à une altération de l’état général (perte de 15 kg en deux mois). L’examen clinique retrouvait une hémiparésie gauche, un ralentissement idéo-moteur marqué, un syndrome frontal, une écholalie et une anosognosie. Il s’y associait une dysphagie marquée et des céphalées. L’imagerie scanographique initiale mettait en évidence un processus infiltrant hypodense frontal droit, non rehaussé.
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Fiche Pratique
Imagerie par résonance magnétique d’une sclérose combinée de la moelle secondaire à une maladie de Biermer
Dr Marc Coustans - Neurologue - CH de Cornouaille - Quimper le 21 décembre 2010
Une femme de 49 ans, présentant pour principaux antécédents un asthme évoluant depuis l’adolescence et une hystérectomie en 2002, était hospitalisée pour des paresthésies d’aggravation progressive des membres inférieurs. Ces troubles étaient associés à une sensation d’instabilité à la marche, évoluant depuis 3 semaines. L’examen neurologique retrouvait des troubles proprioceptifs des membres inférieurs ainsi qu’un syndrome pyramidal réflexe avec signes de Babinski et Hoffman bilatéral. Le bilan biologique faisait état d’une anémie (8gr/dl) macrocytaire (117) arégénérative avec carence en vitamine B12 (128).
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Fiche Pratique
Une encéphalopathie fatale…
Melle Hélène Pouclet - Neurologue - CHU NANTES - SAINT-HERBLAIN le 28 juin 2010
M. G, 23 ans, magasinier, vivant chez ses parents, consulte aux urgences le 8 mai pour une confusion fébrile. Il se plaint également depuis 4 jours de céphalées intenses associées à des troubles visuels. Il a pour antécédents des migraines avec aura. L’examen constate une hémianopsie latérale homonyme. Brutalement, le patient présente deux crises partielles motrices hémi corporelles secondairement généralisées, avec des troubles de la vigilance postcritiques nécessitant une intubation et un transfert en réanimation. Le tracé EEG confirme un état de mal épileptique avec
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Fiche Pratique
Une leucoencéphalopathie corticosensible
Dr Tiphaine Rouaud - Neurologue - CHU Nantes - Nantes le 25 mai 2010
Mme D., âgée de 62 ans, agricultrice retraitée, sans antécédent ni traitement habituel, est hospitalisée en juillet 2008 pour céphalées et aphasie de Broca d’installation brutale. L’état général est conservé et la patiente apyrétique. Une IRM cérébrale est réalisée le 24 juillet 2008. Il est retrouvé des anomalies de signal de la substance blanche, bilatérales et symétriques, en hyposignal T1 - hypersignal T2 et FLAIR, non rehaussées après injection de gadolinium Le bilan exhaustif cardio-vasculaire et métabolique, inflammatoire, dysimmunitaire,
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Fiche Pratique
Une leucoencéphalopathie diffuse
Pr David Devos - Neurologue - CHU et Université - Lille le 22 avril 2010
Ce patient né en 1950, sans antécédent personnel ou familial, consulte à l’âge de 37 ans pour un déficit moteur d’apparition progressif du membre inférieur droit. L’examen initial retrouve un syndrome tétrapyramidal avec un déficit hémicorporel droit incomplet et une hypoesthésie de ce membre inférieur droit. Le reste de l’examen neurologique est normal. Une TDM encéphalique est réalisée :
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Fiche Pratique
Granulomatose lymphoïde
Dr Laure Michel - Neurologue - CHU de nantes - Saint Herblain le 17 mars 2010
Mr R., âgé de 50 ans, chauffeur routier, sans antécédents particuliers, consulte en septembre 2005 pour les symptômes suivants : asthénie, céphalées frontales et troubles de l’équilibre d’installation progressifs depuis quelques mois. L’examen clinique retrouve : un syndrome cérébelleux, un syndrome pyramidal irritatif, un nystagmus multidirectionnel, une paralysie faciale droite centrale. L’IRM cérébrale du 09/09/2005 :
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Fiche Pratique
Une atteinte du corps calleux particulière
Dr Françoise Héran - Fondation Rothschild - Paris le 30 octobre 2009
Cette jeune femme de 22 ans se présente en IRM pour bilan de céphalées. Elle signale de façon spontanée des paresthésies peu gênantes de la main droite. Il y a deux ans elle a présenté un épisode de vertiges, qu’elle a attribué à la fatigue, et pour lequel elle n’a pas consulté. L’IRM met en évidence une lésion en hypersignal T2 et FLAIR, infiltrant le splénium et débordant de façon symétrique vers les lobes occipitaux (Figures 1 et 2). Cette lésion touche la substance blanche. La prise de contraste est très discrète (Figure 3). Le reste de l’exploration est normal. Le médecin de la patiente l’adresse pour biopsie d’une possible lésion gliale en neurochirurgie.
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HAS
ALD n° 9 - Sclérose latérale amyotrophique
le 30 mai 2007
L’objectif de ce protocole national de diagnostic et de soins (PNDS) est d’expliciter, pour les professionnels de santé, la prise en charge optimale et le parcours de soins d’un malade admis en ALD au titre de l’ALD 9 : sclérose latérale amyotrophique (SLA).NB : La liste des actes et prestations a été actualisée en décembre 2008
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HAS
ALD n°25 - Sclérose en plaques
le 31 décembre 2006
L'objectif de ce guide médecin est d'expliciter, pour les professionnels de santé, la prise en charge optimale et le parcours de soins d'un malade admis en ALD au titre de l'ALD 25 : sclérose en plaques.NB :Un guide patient a été réalisé à la suite du guide médecin.
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HAS
Prise en charge des personnes atteintes de sclérose latérale amyotrophique
le 27 février 2006
L'objectif de cette conférence de consensus est de répondre aux cinq questions suivantes : Comment fait-on le diagnostic de sclérose latérale amyotrophique (SLA) ? Comment dit-on le diagnostic de SLA ? Comment évalue-t-on l’évolution de la SLA et quels outils utiliser ? Quelles thérapies et quel suivi pour le patient atteint de SLA et son entourage ? Quelle est la place de la suppléance des fonctions vitales chez le patient atteint de SLA ?
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HAS
Vaccination contre le virus de l’hépatite B et sclérose en plaques : état des lieux
le 29 novembre 2004
Cette audition publique a pour but de réexaminer les recommandations du jury de la conférence de consensus "Vaccination contre le virus de l'hépatite B" organisée par l'Anaes et l'Inserm en septembre 2003 (réunion publique les 10 et 11 septembre 2003). L'objectif de l'audition publique est de faire l’état des lieux des dernières données disponibles en novembre 2004 concernant : Les études épidémiologiques et les données de pharmacovigilance sur la vaccination contre le VHB et la...
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HAS
La sclérose en plaques
le 30 juin 2001
L'objectif de cette conférence de consensus est de répondre aux questions suivantes : Critères diagnostiques de la sclérose en plaques ? Indications thérapeutiques à visée étiologique ? Indications thérapeutiques à visée symptomatique ? Suivi de la sclérose en plaques et évaluation de l'évolution ? Modalités de la prise en charge ?
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Vos patients ont lu
Source : Algoscoop.net - Douleur neuropathique avril 2024
« "Pour moi, il y a une efficacité énorme" : atteint de sclérose en plaques, il expérimente le cannabis thérapeutique délivré par l'hôpital »
le 6 mai 2024
Le site de France Info se penche sur l'Hôpital Jean-Minjoz de Besançon, qui « fait partie des établissements qui testent le cannabis comme médication contre les douleurs neuropathiques réfractaires aux thérapies, autrement dit celles dont les traitements actuels ne viennent pas à bout »...  
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Vos patients ont lu
Source : NeuroScoop.net - Actu'Hebdo février 2024
« Parkinson, sclérose en plaques : boire de l'or pourrait bientôt soigner ces maladies graves »
le 20 février 2024
« De l'or en sirop pourrait aider à redynamiser la production de molécules essentielles au bon fonctionnement du cerveau, et aider à soigner des maladies neurodégénératives comme Parkinson ou Charcot », écrit Emma Derome dans Ça m’intéresse.
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Vos patients ont lu
Source : NeuroScoop.net - Actu'Hebdo septembre 2023
« Alzheimer : ce médicament contre la sclérose en plaques pourrait être efficace, selon des chercheurs »
le 12 septembre 2023
« Alors qu’il n’existe pas de traitement curatif contre la maladie d'Alzheimer, des chercheurs américains [de l’université du Kentucky] mettent en avant [dans une étude publiée en août dans le journal eBioMedicine] l'intérêt du ponesimod, un médicament contre la sclérose en plaques...
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Vos patients ont lu
Source : Dermato.net - Actu mensuelle novembre 2022
« Qu'est-ce qu'une maladie auto-immune ? »
le 30 novembre 2022
« Psoriasis, vitiligo, lupus, sclérose en plaques, spondylarthrite... Il existe près de 80 maladies auto-immunes, toutes liées à une réaction inappropriée du système immunitaire », fait savoir Santé Magazine. « Une maladie auto-immune est une pathologie caractérisée par un dysfonctionnement du système immunitaire qui se met à agresser les cellules de notre organisme qu'il considère...
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Vos patients ont lu
Source : NeuroScoop.net - Actu'Hebdo janvier 2021
« Venin : bientôt plus de piquant dans nos médicaments ? »
le 5 janvier 2021
« Abeilles, serpents, scorpions, araignées... (…) Les toxines produites par certaines espèces animales pour tuer leur proie ou se défendre servent de base au développement de nouveaux traitements », indique Femme Actuelle. « Mais aucun médicament n’est produit directement à partir du venin, car ce serait trop long et compliqué : on identifie la molécule intéressante...
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Vos patients ont lu
Source : NeuroScoop.net - Actu'Hebdo décembre 2020
« Ostéo, kiné ou chiro : comment choisir ? »
le 1er décembre 2020
Louis de Montès souligne dans Top Santé qu’il « n’est pas toujours facile de choisir le bon type de praticien au moment de régler un problème physique », et note que « de nombreux Français, [ne connaissent pas] les différences entre kinésithérapeutes, ostéopathes et chiropracteurs ». Concernant « les kinésithérapeutes », le journaliste explique qu’ils traitent notamment...
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Vos patients ont lu
Source : NeuroScoop.net - Actu'Hebdo octobre 2020
« Dysphagie : comment reconnaître et traiter ce trouble de la déglutition ? »
le 20 octobre 2020
« Lorsque les repas sont synonymes de gène lors de la déglutition, de douleurs ou encore de sensation d'étouffement, il peut s'agir de dysphagie. Ce trouble de la déglutition n’est pas une maladie en soit mais un symptôme que l’on retrouve dans diverses pathologies », indique Femme Actuelle. « La dysphagie est un trouble de la déglutition qui altère les capacités de boire et de...
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Vos patients ont lu
Source : NeuroScoop.net - Actu'Hebdo mai 2020
« Coronavirus : des masques gratuits sur ordonnance pour les personnes à haut risque »
le 19 mai 2020
« Si vous avez une maladie chronique et êtes considéré comme une personne "à très haut risque médical" de développer une forme grave du Covid-19, vous pouvez bénéficier d'une distribution de masques gratuits sur prescription de votre médecin », fait savoir Pleine Vie. Concernant la terminologie : « personnes à très haut risque médical », le magazine observe que...
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Vos patients ont lu
Source : NeuroScoop.net - Actu'Hebdo mai 2020
« Neurologue : que soigne-t-il et dans quels cas le consulter ? »
le 13 mai 2020
« Une visite médicale chez un neurologue s'avère parfois nécessaire en cas de maux de tête récurrents, de pertes d'équilibre ou de difficultés à se déplacer », révèle Femme Actuelle. « Un neurologue s’occupe des pathologies liées au cerveau, à la moelle épinière, aux nerfs ou aux terminaisons nerveuses. La consultation de ce spécialiste est nécessaire pour des traumatismes...
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Vos patients ont lu
Source : Diabeto.net - Actu'Hebdo octobre 2019
« Un médicament contre le diabète pourrait réparer les lésions de la sclérose en plaques »
le 9 octobre 2019
«Une étude menée sur des rats par des chercheurs de l'Université de Cambridge et publiée dans la revue Cell Stem Cell, révèle que la Metformine, habituellement utilisée pour traiter des patients atteints de diabète de type 2, soignerait des lésions nerveuses dues à la sclérose en plaques », annonce Jane Roussel dans Top Santé...
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