« Aux États-Unis, des chercheurs de l'université de Pennsylvanie se penchent sur un composé capable de renverser les symptômes de la démence. De son nom scientifique 4-phénylbutyrate (PBA), la molécule d’acide gras agit comme un « chaperon chimique » qui...

« Une nouvelle étude [publiée le 5 octobre 2024, dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism ] vient de révéler qu'à la ménopause, les particules de HDL - aussi appelé le "bon" cholestérol - se transformeraient et grossiraient, fonctionnant moins bien qu'avant...

Comme le montre un grand nombre d'études, les sphères affectives et sociales sont largement atteintes dans la maladie de Parkinson. En particulier, la dépression dans la maladie de Parkinson est fréquente, invalidante et répond mal aux antidépresseurs classiques.

Comme le notent les auteurs de cette recherche, différentes études ont montré l'efficacité des interventions basées sur l'exercice physique sur la gestion des symptômes et la progression de la maladie de Parkinson. Malgré cela, de nombreux patients ne font pas d'exercice régulièrement.

Quelques études suggèrent que les maladies inflammatoires chroniques pourraient être associées à une augmentation du risque de démence. En ce sens on évoque le rôle potentiel de l’inflammation chronique, de la réduction des activités physiques... pour autant les résultats restent hétérogènes et controversés, d’où l’intérêt de cette publication récente.

CNews 4 octobre 2024
« Pour les malades atteints de Parkinson, il s'agit d'un d'espoir. Une équipe de chercheurs japonais a mené une étude permettant de limiter les effets secondaires d'un possible remède à la maladie », révèle Shady Ménard sur le site de CNews.

« Alors que nous ne bénéficions pas de traitement efficace contre cette maladie neurodégénérative qui touche 1 million de personnes, l’activité physique régulière réduit les risques de développer cette pathologie », assure le psychiatre et gériatre Olivier de Ladoucette.

« Non seulement ils étendent leur champ d’action dans la prévention des maladies infectieuses, mais ils participent aussi au traitement de pathologies sévères », assure Anne-Laure Lebrun dans Femme Actuelle.

Les atteintes survenant dans les maladies neurologiques au niveau des sphères affectives et sociales ont bénéficié d’une attention croissante des chercheurs. En particulier, l’apathie est reconnue comme un syndrome courant et invalidant qui se manifeste dans toute une série d'affections psychiatriques et neurologiques, y compris la maladie de Parkinson.

L'incapacité relative à produire des mouvements avec effort est le signe moteur le plus spécifique de la maladie de Parkinson. Comme l’expliquent les auteurs de cette étude, l'hypothèse de la motivation motrice suggère que ce déficit moteur pourrait ne pas refléter une déficience du contrôle moteur en soi, mais une déficience dans les considérations coût-bénéfice de l'effort moteur.

« Repérer la maladie d'Alzheimer 10 à 15 ans avant les symptômes par une simple prise de sang. Ce qui semblait impossible il y a quelques années est désormais une réalité. La paternité de cette avancée revient au Pr Sylvain Lehmann, responsable du  laboratoire de biochimie et protéomique clinique au CHU de Montpellier...

« Dans une vidéo TikTok, le neuroscientifique Robert Love [un neuroscientifique américain spécialisé dans la prévention de la maladie d'Alzheimer] souligne l’importance d’incorporer trois minéraux clés dans la consommation quotidienne d’eau, pour améliorer la santé du cerveau », indique Elena Bizzotto dans Top Santé.