« Des chercheurs du groupe Couleur et Qualité des Aliments de la Faculté de Pharmacie, de l’Université de Séville, en collaboration avec le groupe du Dr Marina Ezcurra de l'Université du Kent, au Royaume-Uni, ont étudié l’effet d’un composé alimentaire courant...

La question du suivi longitudinal dans les neurosciences cliniques contemporaines est une problématique majeure. Bien qu'il soit intéressant de définir les changements longitudinaux chez les patients atteints d'une maladie chronique comme la maladie de Parkinson, l'analyse statistique des données longitudinales n'est pas simple pour les chercheurs cliniciens.

Les atteintes des sphères affective, motivationnelle et sociale à l’œuvre dans la maladie de Parkinson font l'objet d'un nombre de recherche sans cesse croissant. Les symptômes neuropsychiatriques (notamment l'anxiété, la dépression, l'apathie, les comportements impulsifs-compulsifs et les hallucinations) font partie des caractéristiques non motrices les plus courantes de la maladie de Parkinson.

« Le stress chronique, surtout à la quarantaine, est un facteur de risque quasi certain de la maladie d’Alzheimer », indique Dora Laty dans Santé Magazine.

« Une étude récente [publiée le 18 septembre 2024 dans la revue Neurology et menée par le Dr Minyoung Lee, de l’Université Yonsei en Corée du Sud] révèle qu'une classe de médicaments contre le diabète, les inhibiteurs [du cotransporteur sodium-glucose de type 2] SGLT2, pourrait protéger contre les maladies neurodégénératives...

« C'est l'une des principales controverses médicales du moment : deux nouveaux médicaments, le [lécanémab] et le [donanemab], promettent de ralentir la maladie d'Alzheimer. Pour leurs défenseurs, c'est une chance sans précédent. Pour d'autres, c'est une énième désillusion...

« Des chercheurs [de la McGill University (au Canada)] ont découvert que des indices subtils, repérés grâce à un scanner cérébral, pourraient permettre de diagnostiquer la maladie d'Alzheimer de façon très précoce », fait savoir Apolline Henry dans Top Santé.

Comme on l’évoque souvent ici, les symptômes non-moteurs de la maladie de Parkinson touchent notamment les sphères affective et motivationnelle. En particulier, la dépression est largement reconnue comme un symptôme non moteur courant de la maladie de Parkinson.

Un nombre croissant d’études en neurosciences et psychologie s’intéresse aux effets de la musique en général et aussi dans la pratique clinique. En particulier, la musique a des effets bénéfiques multifactoriels sur les aspects émotionnels, sociaux, cognitifs. Comme le notent les auteurs de ce travail, il est cliniquement prouvé que la musique réduit le stress et l'anxiété et améliore l'humeur et l'expression de soi.

Lien Mononucléose Infectieuse/EBV : une nouvelle confirmation épidémiologique !

Quel impact de la rééducation cognitive sur les réseaux neuronaux de repos ? CogEx (ClinicalTrials.gov, NCT03679468) était un essai visant à déterminer l'efficacité de la rééducation cognitive et de l'exercice aérobique dans la sclérose en plaques progressive.

Arrêter un traitement de haute efficacité chez un patient SEP de plus de 50 ans peut être risqué en termes de reprise d’activité de maladie mais le poursuivre peut aussi être risqué en raison du risque de complications (infection, cancer…).