« Dean Ornish, médecin et chercheur [spécialisé sur l'impact de l'alimentation et du mode de vie pour lutter contre les maladies chroniques], a mené une étude sur l'impact positif de la pratique du sport et d'une certaine alimentation pour les personnes touchées par la maladie d'Alzheimer », révèle Théo Miras dans Top Santé.

« Une étude française [publiée dans la revue Molecular Psychiatry le 14 juin 2024 et menée par des neurobiologistes du CNRS et de l'université de Grenoble Alpes] vient de démontrer qu'un traitement avec une protéine portant une mutation présente dans la population humaine d’Islande protège des souris de la maladie neurodégénérative d’Alzheimer...

Comme le notent les auteurs de cette belle étude, une bonne compréhension de l'histoire naturelle de l'apathie dans la maladie de Parkinson est essentielle pour développer des outils de gestion clinique efficaces. Cependant, les études longitudinales de grande envergure font défaut et la littérature n'est pas cohérente en ce qui concerne les associations transversales.

Comme le montre un certain nombre de travaux dans la littérature scientifique, la volonté de fournir un effort pour atteindre un objectif donné dépend de l'ampleur des récompenses potentielles et du coût de l'effort pour une action donnée. Comme le rappellent justement les auteurs de ce travail, la prise de décision basée sur l'effort est une composante essentielle de la motivation, dans laquelle le système dopaminergique joue un rôle clé.

« Les problèmes de sommeil peuvent augmenter le risque d’accident vasculaire cérébral. Qu'il s'agisse d'un sommeil insuffisant (moins de 5 heures), d'un sommeil excessif (plus de 9 heures), d'une mauvaise qualité de sommeil, de difficultés à s'endormir ou à rester endormi ainsi que de l'apnée du sommeil. C'est ce qu'explique le Dr Stephen English, neurologue vasculaire de la Mayo Clinic »...

« Selon une nouvelle étude danoise, une exposition répétée et excessive à la pollution atmosphérique augmenterait le risque de développer une démence sénile », révèle Apolline Henry dans Top Santé.

« Une nouvelle étude révèle que les vaccins antitétaniques pourraient réduire de moitié le risque de contracter la maladie de Parkinson », fait savoir Shoona Woolley dans Santé Magazine. 

« Des chercheurs de l’université Queen Mary à Londres (…) ont mis au point cette méthode, qu’ils disent efficace à 80%, et qui permettrait selon eux de gagner 9 ans sur le diagnostic, comme ils le révèlent dans une étude parue dans la revue Nature », indique Violette Guédon.

Perspectives offertes par le ciblage sélectif du noyau sous-thalamique, du noyau para-sous-thalamique et de la zone incertaine chez les rongeurs. Comme le montre un nombre sans cesse croissant d’études, différentes techniques de neuromodulation sont mises en œuvre pour le traitement des maladies neurologiques.

Comme l’évoque un nombre sans cesse croissant d’études, les symptômes de la maladie de Parkinson touchent également les sphères affectives et sociales. L’apathie, qui constitue le trouble de la motivation principal, est fréquente dans la maladie de Parkinson et souvent diagnostiquée à tort comme une dépression.

« Des personnes atteintes d’autres troubles que la maladie de Parkinson pourraient avoir un risque accru de souffrir des mêmes symptômes, selon une nouvelle étude [publiée dans la revue scientifique Nature ce 28 mai 2024] », indique Nastasia Montel dans Santé Magazine.

« Dans une étude, publiée le 21 mai 2024 dans la revue Nature Communications », « les neuroscientifiques de l'Université Toulouse III - Paul Sabatier et du CNRS révèlent que la dopamine joue un rôle clé dans la sélection des souvenirs, ouvrant ainsi la voie à une meilleure compréhension des troubles cognitifs...