« Le sport est bon pour la santé ! Cet adage bien connu est particulièrement vrai dans le cadre de la maladie de Parkinson. L’activité physique permet, entre autres, de produire de la dopamine, hormone dont la fabrication est impactée chez les patients », fait savoir Nastasia Montel dans Santé Magazine.

« Une étude, publiée le 3 avril 2024 dans le New England Journal of Medicine a présenté les résultats d’un essai clinique de phase 2 sur le lixisenatide, un médicament contre le diabète, afin de déterminer s’il pouvait ralentir la progression de la maladie de Parkinson », indique Emilie Biechy-Tournade dans Femme Actuelle.

« Une technique efficace nommée "stimulation cérébrale profonde" permet d'améliorer le quotidien des personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Cette opération est en passe de bénéficier de récentes avancées technologiques », fait savoir Sciences et Avenir.

« S’il y a bien un signe qui est associé à la maladie de Parkinson, c’est le tremblement. Pourtant, 30% des patients atteints par la maladie n’en ont pas. Des symptômes variés sont en fait liés à cette pathologie », révèle Valeria Lotti dans Top Santé.

Comme souvent dans le domaine de la pathologie, les causes pouvant être à l’origine de la survenue des symptômes sont multiples. A cet égard, les maladies neurologiques sont multifactorielles, génétiques et environnementales.

Comme le montre un grand nombre de recherches portant sur la maladie de Parkinson et ses conséquences psychosociales, celle-ci est associée à une détresse psychosociale qui affecte grandement la qualité de vie des patients. Le thermomètre de détresse est une échelle visuelle analogique en 11 points utilisée comme outil de dépistage pour l'évaluation de la détresse psychosociale.

« Si l'âge est le principal facteur de risque [de la maladie d’Alzheimer], d’autres éléments peuvent jouer sur le développement de la maladie tels que la présence de facteurs de risque cardiovasculaires, un manque d’activité physique, de mauvaises habitudes alimentaires, une grande consommation d’alcool...

« Une étude chinoise, menée par l’université de Zhengzhou, a démontré l’efficacité du chocolat pour diminuer le risque de développer la maladie d’Alzheimer, mais également pour perdre du poids. Une substance chimique présente dans le chocolat, expliquerait les résultats de cette étude », révèle Théo Miras dans Top Santé.

« Selon les conclusions d’une étude publiée dans le New England Journal of Medicine », « après un an de suivi, les chercheurs ont constaté que (…) ce traitement [pour traiter le diabète] administré par injection, (…) a permis de ralentir la progression des problèmes moteurs associés à la maladie de Parkinson », révèle Johanna Amselem dans Santé Magazine.

Comme le montre un certain nombre d’études de la littérature scientifique, les maladies neurodégénératives telles que la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson sont des affections très graves qui peuvent se développer sans symptômes apparents, causant des dommages irréversibles aux neurones avant qu'aucun signe ne devienne cliniquement évident.

La question de savoir s'il existe une dégénérescence hypothalamique dans la maladie de Parkinson et son association avec les symptômes cliniques et les changements physiopathologiques reste controversée. Les auteurs de cette recherche ont cherché à quantifier les changements microstructuraux dans l'hypothalamus à l'aide d'un nouvel outil basé sur l'apprentissage profond chez les patients atteints de la maladie de Parkinson.

L’espérance de vie des diabétiques de type 1 ne cesse d’augmenter. Cela fait émerger d’autres pathologies liées à l’âge notamment les troubles des fonctions supérieures. Cette étude a pour but d’analyser la différence des fonctions exécutives et cognitives entre les patients DT1 et DT2 âgés de plus de 65 ans.