L’hypomimie désigne la diminution et le ralentissement des expressions faciales, notamment accompagnant généralement les émotions. En particulier, l'hypomimie est un symptôme fréquent de la maladie de Parkinson qui peut affecter les relations interpersonnelles et la qualité de vie des patients.

Comme le montre un nombre sans cesse croissant d’études scientifiques, l’activité physique et l'exercice sont de plus en plus reconnus comme des éléments clés de la prise en charge globale des patients atteints de la maladie de Parkinson, mais différents obstacles (spécifiques à la maladie) peuvent empêcher les patients, même motivés, de participer à des activités physiques régulières.

« Un nouvel essai suggère qu’un apport régulier et élevé de vitamine B12 protégerait du risque de développer cette maladie neurodégénérative, qui touche près de 170.000 Français », indique Diane Mottez dans Femme Actuelle.

« D'après une vaste étude, parue (…) vendredi 15 mars, dans le Lancet Neurology, (…) les pathologies qui frappent le système nerveux, comme les démences de type Alzheimer mais aussi les migraines ou les conséquences d'un AVC, sont désormais la principale cause mondiale de problèmes de santé », révèle BFM.

« Lors d’une interview accordée au journal The Mirror, le Dr Carrie Ruxtop [docteure et diététicienne] a partagé les 4 aliments qu’il fallait privilégier pour préserver sa santé. Par ailleurs, elle a précisé que ces aliments permettaient de réduire le risque de développer certains cancers, le diabète et la maladie d’Alzheimer »...

« Parmi les nombreuses habitudes de vie qui permettent de réduire les risques de souffrir de démence, l’alimentation tient une place centrale. Des scientifiques américains [de l’université de Columbia] (ont décrypté le lien entre un régime alimentaire sain, le vieillissement du cerveau...

« Alors que la maladie d'Alzheimer représente près de 70% des cas de démence dans le monde, des chercheurs britanniques estiment qu’un faible apport d’un type d’aliment permettrait d’améliorer la fonction cognitive », indique Louis Tardy dans Femme Actuelle.

« Savoir si une personne développe une maladie d'Alzheimer et quel est son degré d'avancement est désormais possible simplement par le dosage dans le sang d'une protéine anormale caractéristique de la maladie, la protéine tau phosphorylée (p-tau217) », révèle Pierre Kaldy dans Sciences et Avenir.

« L'autorisation attendue d'un traitement contre Alzheimer développé par Eli Lilly va finalement prendre plus de temps que prévu, a annoncé vendredi le géant pharmaceutique, l'agence américaine des médicaments (FDA) souhaitant réaliser davantage d'analyses », fait savoir Sciences et Avenir.

« Une étude, réalisée par la School of Life Course & Population Sciences, a démontré qu’un supplément quotidien de fibres améliorerait dès 12 semaines, les fonctions cérébrales », révèle Théo Miras dans Top Santé.

Différentes études scientifiques ont documenté les changements dans la structure du cerveau et les systèmes de neurotransmetteurs impliqués dans la douleur ressentie par les patients atteints de la maladie de Parkinson, et les facteurs émotionnels sont étroitement liés à la douleur. Les auteurs ont utilisé l'électroencéphalographie pour étudier le rôle de l'émotion chez les patients atteints de la maladie de Parkinson et souffrant de douleurs musculo-squelettiques.

Comme le montre désormais un nombre important de recherches scientifiques, les symptômes accompagnant le développement de la maladie d’Alzheimer touchent tant la sphère cognitive que les sphères affective et motivationnelle. En particulier, les patients atteints de la maladie de Parkinson présentent plusieurs signes neuropsychiatriques tels que l'anxiété, la dépression et les émotions négatives.