« Selon une étude danoise [publiée dans la revue Neurology], l’accident ischémique transitoire peut laisser des traces et, notamment, une importante fatigue », révèle Johanna Amselem dans Santé Magazine.

Dans une « nouvelle étude publiée dans le Journal of The American Medical Association (JAMA) », « des chercheurs ont découvert que les personnes vivant à moins d’1,5 km des terrains de golf ont un risque plus élevé de développer la maladie de Parkinson de 126% », révèle Valeria Lotti dans Top Santé.

« Après plusieurs tentatives, un candidat vaccin s’apprête à faire l'objet d'essais cliniques chez l’humain. Il a montré des résultats encourageants chez la souris et des primates non humains », annonce Nicolas Gutierrez C. dans Sciences et Avenir.

« Alors que le nombre de cas de maladie d’Alzheimer augmente dans le monde, des chercheurs [de l'université de Pittsburgh (États-Unis)] pointent du doigt un mode de vie comme facteur de risque de cette maladie neurodégénérative », indique Louis Tardy dans Femme Actuelle.

« Une équipe de chercheurs californiens a identifié une cause de la maladie d’Alzheimer, longtemps dissimulée derrière un simple biomarqueur. Cette découverte [annoncée dans la revue Cell par des chercheurs de l’Université de Californie] ouvre la voie à un traitement précoce », révèle Elena Bizzotto dans Top Santé.

« Des chercheurs du CNRS s’inspirent du système immunitaire des dromadaires pour développer une piste thérapeutique prometteuse contre la maladie d’Alzheimer », fait savoir 20 Minutes.

« Une forme de sommeil disparaît peu à peu avec l’âge si l'on n'en prend pas soin. Une étude vient de montrer que cette lente érosion pourrait suffire à faire augmenter le risque d'Alzheimer », indique Catherine Cordonnier dans Top Santé.

Comme le rappellent les auteurs de ce travail, la maladie de Parkinson est une affection neurodégénérative qui entraîne des difficultés physiques et psychologiques. Dans cette maladie, la stigmatisation exacerbe les émotions négatives, ce qui se traduit par l'anxiété et la dépression, et nuit à la perception de soi et à la participation sociale.

Comme le montre un nombre sans cesse croissant d'études, la stimulation cérébrale profonde du noyau sous-thalamique est un traitement efficace de la maladie de Parkinson, qui améliore les symptômes moteurs. Or, son influence qui s'exerce aussi sur les sphères affective et sociale de la maladie impliquant les symptômes non moteurs, tels que l'anxiété et la dépression, n'est pas claire.

« Ces deux maladies neurodégénératives peuvent-elles cohabiter dans un même cerveau ? Une question plus complexe qu’il n’y paraît, à la croisée des diagnostics », indique Ça m’intéresse.

Dernières Nouvelles d’Alsace (DNA) 5 mai 2025
« Une étude publiée dans le Journal of Neurology Neurosurgery & Psychiatry suggère qu'un faible taux de cholestérol LDL, souvent appelé «mauvais cholestérol», pourrait être associé à un risque réduit de démence, y compris la maladie d'Alzheimer », fait savoir le journal DNA.

« Une nouvelle étude [publiée dans la revue scientifique The Lancet et menée par des chercheurs norvégiens et australiens] confirme l'efficacité d'une habitude à adopter dès que possible pour lutter contre le risque de démence », révèle Agathe Bourdarias dans Femme Actuelle.