Comme le montre un nombre sans cesse croissant d'études de la littérature scientifique, la maladie de Parkinson (MP) s'accompagne de symptômes s'étendant aux sphères affective et sociale. En particulier, comme le soulignent très justement les auteurs de cette étude, l'apathie, un déclin du comportement motivé orienté vers un objectif, est un symptôme non moteur courant de la MP.

Comme le rappellent les auteurs, les processus moteurs et cognitifs s'influencent mutuellement. Des études sur la double tâche ont montré que la marche, en particulier, peut avoir un impact sur les performances lors de tâches cognitives.

La littérature montre que les êtres humains préfèrent faire des choix librement, même lorsque cela ne permet pas d'optimiser les résultats futurs, ce qui suggère que le libre choix est intrinsèquement gratifiant. Cependant, si les troubles de la prise de décision fondée sur la valeur sont bien documentés dans la maladie de Parkinson, les mécanismes sous-jacents au comportement intrinsèquement motivé restent flous.

Comme le note le chercheur ayant conduit cette recherche, les chocs à la tête, en particulier les chocs non contondants, sont fréquents dans le sport. Pourtant, leurs effets sur le cerveau restent mal compris. Dès lors, l’auteur de ce travail a souhaité ici étudier les effets aigus des chocs non contondants sur la microstructure, la chimie et la fonction du cerveau en utilisant l'IRM et d'autres techniques.

Comme le rappellent les auteurs de cette publication, le tractus corticobulbaire relie le cortex moteur primaire aux effecteurs oraux et faciaux et peut contribuer aux processus affectifs et motivationnels par ses interactions avec les circuits dopaminergiques. Or, des travaux antérieurs ont montré que l'excitabilité du cortex moteur de la langue, ainsi que l'activité électromyographique de surface des muscles sous-mentaux, sont modulées par des stimuli hédoniques et aversifs.

Comme l’expliquent parfaitement les auteurs de cette publication, la décision de réaliser un traitement par stimulation cérébrale profonde dans la maladie de Parkinson est influencée par les attentes, les préoccupations et les expériences liées au genre. Dès lors, cette étude explore la manière dont les patients et les soignants naviguent dans le processus de prise de décision concernant la stimulation cérébrale profonde.

L’objectif de cette étude était d’évaluer le risque de méningiome intracrânien associé aux contraceptifs oraux contenant du désogestrel, du lévonorgestrel ou du lévonorgestrel associé à des œstrogènes.

Comme le notent les auteurs de cette recherche, le parkinsonisme induit par les médicaments est un parkinsonisme secondaire dont les modifications structurelles de l'hippocampe ont fait l'objet de peu de recherches.

Nous abordons ici le travail intéressant conduit dans une thèse. Si l’on considère la question croisée de la maladie de Parkinson et du vieillissement, la maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative progressive et multisystémique qui touche environ 2% de la population âgée de plus de 80 ans.

Comme le notent les auteurs de ce travail, dans la littérature scientifique, de nouvelles données mettent en évidence l'implication du cervelet dans la maladie de Parkinson. Malgré cette mise en évidence, sa connectivité fonctionnelle intrinsèque avec les réseaux corticaux et sous-corticaux reste largement inexplorée.

La neuropathie diabétique périphérique (NP) pourrait augmenter le risque de troubles cognitifs et de démence. Cette étude a évalué la NP comme facteur de risque de maladie cérébrale définie comme une maladie cérébrovasculaire (MCV) et une démence toutes causes confondues.

Alexandrov et ses collègues montrent sur leur étude qu’une position à 0° dans le cadre des AVC ischémiques présentant une occlusion des gros vaisseaux avant reperfusion permet de réduire le risque de dégradation clinique et de mortalité de manière importante.