Ce consensus européen propose une stratégie de tests moléculaires prédictifs dans les cancers avancés de la thyroïde afin d’optimiser l’accès aux traitements ciblés.

Cette étude multimodale utilisant protéomique spatiale, transcriptomique et immunofluorescence sur des échantillons de carcinome épidermoïde tête et cou, révèle des biomarqueurs pronostiques clés dans le microenvironnement tumoral.

L’essai de phase III KEYNOTE-689 montre que l’ajout de pembrolizumab en périopératoire au traitement standard des carcinomes épidermoïdes ORL localement avancés résécables améliore significativement la survie sans événement, quel que soit le statut PD-L1.

Une étude japonaise de phase II montre que la RCT avec carboplatine hebdomadaire est une option faisable, bien tolérée et potentiellement efficace chez les patients atteints de carcinome épidermoïde ORL localement avancé inéligibles au cisplatine.

L’immunothérapie dans le localement avancé améliore aussi l’efficacité de la chimiothérapie.

Le pembrolizumab périopératoire, un nouveau standard dans les cancers ORL localement avancés résécables.

Plénière : le nivolumab ajouté à la radiochimiothérapie adjuvante des cancers ORL opérés de haut risque augmente la survie sans progression.

Une nouvelle saga qui s’annonce avec des anti-EGFR conjugués : premiers pas dans les cancers du cavum récidivants/métastatiques.

La fin du cisplatine de potentialisation grâce à l'immunothérapie dans les cancers avancés du cavum ?

Les cancers anaplasiques de la thyroïde sont souvent avancés et non résécables au diagnostic avec un pronostic péjoratif. Dans environ 45% des cas, ils présentent une mutation de BRAF V600E dont le ciblage par l’association dabrafénib et tramétinib a montré des survies sans progression et globale de 6,7 et 13,5 mois respectivement...

Un nouveau standard de double blocage hormonal dans les cancers des glandes salivaires exprimant les récepteurs aux androgènes...

Les résultats à 5 ans de l’étude KEYNOTE-048 confirment que le pembrolizumab, seul ou associé à une chimiothérapie, prolonge significativement la survie globale par rapport au protocole EXTREME chez les patients atteints d’un carcinome épidermoïde tête et cou récidivant ou métastatique, en particulier en cas de forte expression de PD-L1.