L’eftilagimod alpha, une protéine soluble de LAG-3, agit comme un agoniste de classe II du CMH déclenchant l’activation des cellules présentatrices d’antigènes et des lymphocytes T CD8. Il permettrait de potentialiser l’efficacité du pembrolizumab.

La nectine-4 est exprimée dans la majorité des carcinomes épidermoïdes de la tête et du cou et son ciblage est intéressant. L’enfortumab vedotin (EV) est un anticorps conjugué anti-nectine-4 qui a montré son bénéfice dans les carcinomes urothéliaux après échec du platine et d’un anti-PD1/PDL1. L’essai EV-202 le teste en ORL dans une situation similaire.

Une revue systématique a été réalisée pour évaluer la prévalence et la signification pronostique des mutations du promoteur de TERT dans le carcinome épidermoïde tête et cou. Les résultats ont révélé une prévalence significative de ces mutations et une association avec un pronostic défavorable dans cette forme de cancer.

Etude de phase 2 montrant que la combinaison du pembrolizumab avec le cabozantinib pourrait être efficace pour traiter le carcinome épidermoïde récurrent ou métastatique tête et cou avec un taux de réponse objective de 52%.

Cet article décrit les résultats actualisés d'un essai clinique randomisé de phase 2 sur l'utilisation de xevinapant en combinaison avec une radiochimiothérapie dans le traitement du carcinome épidermoïde tête et cou localement avancé (LA-HNSCC).

Cet article présente les résultats d'un essai clinique de phase II évaluant l'efficacité et la sécurité de l'apatinib associé à la capécitabine chez des patients atteints d'un carcinome du nasopharynx (NPC) métastatique ou récurrent réfractaire au platine.

« Selon une étude menée par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ), remplacer les aliments transformés et ultra-transformés par des produits frais équivalents peut réduire le risque de plusieurs cancers », révèle Santé Magazine. « Les résultats de l'étude de cohorte prospective Epic, qui a suivi plus de 450.000 personnes dans dix pays européens...

Le ratio neutrophiles/lymphocytes et les biomarqueurs du sang périphérique semblent corrélés avec les résultats de survie mais pas avec la réponse chez les patients atteints de cancer tête et cou et des glandes salivaires traités par pembrolizumab et vorinostat.

Cet article scientifique rapporte une revue systématique complète et une méta-analyse sur la résistance à la chimiothérapie et l'expression de micro-ARN (miARN) dans les cancers tête et cou.

Cette étude part du constat que moins de 5% des patients peuvent accéder au standard thérapeutique (EXTREME ou KEYNOTE-048 en première ligne puis immunothérapie seule en cas de résistance au platine) du fait de leur coût. Dans une étude précédente de phase 3, un régime métronomique de méthotrexate à faible dose associé...

La radiochimiothérapie (RCT) chez les patients HNSCC réséqués vise à diminuer le risque de récidive locorégionale. En effet, environ 50% des patients récidivent de façon locale ou régionale. L’afatinib est un TKI ciblant EGFR, comme le cétuximab (anticorps anti-EGFR) qui a déjà démontré son efficacité dans les HNSCC que ce soit...

La radio-chimiothérapie concomitante (RCT) est actuellement le traitement de référence en cas de carcinome épidermoïde localement avancé non résecable tête et cou (LA-HNSCC). L'utilisation de la chimiothérapie d'induction (CTI) avant la RCT avec le cisplatine ou le cétuximab peut augmenter la survie sans compromettre la RCT ultérieure chez certains patients...