Cet article publié sous l'égide de l'EUSTAR évalue différents outils de stratification du risque de décès pour les patients avec hypertension artérielle pulmonaire associée à la sclérodermie systémique (HTAP-SSc).

Le traitement des myopathies inflammatoires idiopathiques associées aux PID est complexe et nécessite une approche personnalisée basée sur la sévérité et le type spécifique de la PID. Différentes options de traitement et stratégies sont possibles.

Les myopathies inflammatoires idiopathiques (MIIs) associées aux pneumopathies interstitielles diffuses (PID), ont des caractéristiques cliniques et biologiques particulières. La pathogenèse implique une activation immunitaire due à une combinaison de facteurs génétiques et environnementaux.

Les pneumopathies interstitielles diffuses constituent aujourd’hui l’une des plus fréquentes et plus sévères manifestations extra-articulaires de la polyarthrite rhumatoïde (PR). On s’est longtemps interrogé sur le rôle potentiellement délétère notamment du méthotrexate (MTX) voire des anti-TNF alpha.

« Alors qu'il révélait au mois de décembre être atteint d'un cancer du poumon, Pascal Bataille a annoncé, le lundi 17 mars 2025, être finalement en rémission », indique Louise Pointu d'Imbleval dans Femme Actuelle.

Gala 19 mars 2025
« Comme le rapporte Surrey Live, une nouvelle étude analysant l’impact de l’alimentation sur le cancer du poumon a été réalisée aux États-Unis. Selon les chercheurs, un aliment du quotidien nourrit les tumeurs cancéreuses du poumon », indique Fanny Bardin dans Gala.

« Si le nombre de décès liés au cancer du poumon diminue dans le monde, une étude américaine estime qu’un facteur de risque serait responsable de 20% des décès associés à ce type de cancer », indique Louis Tardy dans Femme Actuelle.

« Alors que le cancer du poumon est l’un des plus meurtriers, notamment du fait de sa difficulté à être diagnostiqué à un stade précoce, l’Institut national du cancer annonce le lancement d’une expérimentation de test de dépistage en France », révèle Louis Tardy dans Femme Actuelle.

Le dépistage du cancer du poumon par TDM est le standard aux États-Unis depuis 2011 et l’étude NLST qui a montré une réduction de la mortalité de 20 % pour les patients fumeurs de plus de 30 PA âgés entre 55 et 80 ans. Seulement 5 % des patients éligibles participent à ce programme.

Le dépistage du cancer bronchique fait partie des actualités en France avec un programme d’expérimentation qui se met en place sur le territoire. Néanmoins, pour être efficient, le risque de cancer doit être suffisamment élevé dans la population ciblée pour que le programme ait un impact sur la mortalité spécifique.

En matière de dépistage des cancers, le scanner à faible taux d’irradiation (LDCT) donne accès aux diagnostics d’autres pathologies possibles que le cancer du poumon. C’est une complexité notable en comparaison avec la mammographie pour le dépistage des cancers du sein, laquelle est centrée sur un organe.

Du point de vue de la santé publique, le cancer du poumon chez les personnes n'ayant jamais fumé est actuellement une cause majeure de mortalité par cancer, et son importance relative augmentera dans les prochaines décennies. La situation en Asie de l'Est est particulièrement grave et nécessite une attention plus immédiate.