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Rhumatologie /
× Pathologie tendineuse

8 articles dans cet axe pathologique
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Articles scientifiques (8)
Article Commenté
Source : J Hand Surg Am. 2024 ; 49(7):639-648.
Quel traitement recommandé pour la tendinopathie latérale du coude ?
Dr Jean-Guillaume Letarouilly - Rhumatologue - Hôpital Roger-Salengro - Lille le 26 septembre 2024
La tendinopathie latérale du coude, ou « tennis elbow », est une affection dégénérative chronique touchant le tendon commun des extenseurs. Elle toucherait de 1 à 3 % de la population. Les hommes et les femmes sont touchés de la même manière et la maladie est la plus fréquente entre 40 et 60 ans.
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Compte Rendu
Source : European League Against Rheumatism 2015
Réorganisation corticale au cours de syndrome douloureux régional complexe ou algodystrophie (SDRC) – étude en EEG
Pr Françoise Laroche - Rhumatologue - CETD, Hôpital Saint-Antoine - Paris le 13 juin 2015
Rationnel La sensibilisation centrale est observée chez tous les patients souffrant de douleurs chroniques, le SDRC n’échappant pas à la règle. Elle correspond à l’hyperalgésie primaire au site de la lésion, à l’hyperalgésie secondaire pour la douleur développée dans les tissus adjacents sains, à la douleur référée pour les douleurs à distance du
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Article Commenté
Source : Rheumatology 2013 ; 52 :534-42
Traitement de l’algodystrophie par bisphosphonates : résultats d’un essai contrôlé, randomisé avec le neridronate
Pr René-Marc Flipo - Rhumatologue - CHU - Lille le 26 avril 2013
L’algodystrophie, appelée aujourd’hui syndrome douloureux régional complexe de type I, est une affection loin d’être rare et pour laquelle nous ne disposons plus en France de traitement validé avec AMM. Pour autant, de nombreuses modalités thérapeutiques ont été évaluées et restent encore proposées comme le possible recours aux bisphosphonates. Les bisphosphonates ont déjà fait l’objet de 4 essais contrôlés, mais leur efficacité n’est pas encore validée. Le neridronate est un aminobisphosphonate dont la structure chimique est très proche de celle de
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Abstract
Source : Ann. Intern. Med. 2010; 152:152-58
Traiter l’algodystrophie par les immunoglobulines intra-veineuses ?
Dr Véra Lemaire - Rhumatologue - Paris le 22 mars 2010
Il s’agit d’une étude contrôlée, en double aveugle et cross over du traitement d’une algodystrophie évoluant depuis plus de 6 mois par les immunoglobulines à la dose de 0,5mg/kg 2 jours de suite ou par du sérum physiologique, les deux traitements étant séparés par 28 jours. Treize patients (10 femmes) ont participé à l’essai, l’âge moyen était de 41 ans. Dans 4 cas, l’algodystrophie était post-traumatique, dans 5 cas elle succédait à une fracture.
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Compte Rendu
Source : Dossier « IL6 - nouvelle cible, thérapeutique »
Que reste-t-il des traitements de l’algodystrophie ?
Pr Richard Trèves - Rhumatologue - CHRU Dupuytren - Limoges le 7 janvier 2009
Lointaine est l’époque où l’on traitait les algodystrophies d’alors, appelées maintenant Syndrome Douloureux Régional Complexe par les infiltrations anesthésiques du ganglion stellaire, voire même par la cortisonothérapie. Lointaine aussi l’époque où l’on prescrivait un anti-inflammatoire puissant, voire même la GRISEFULINE.
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Article Commenté
Indications hors AMM des bisphosphonates
Dr Michel Bodin - Griselles le 9 juin 2006
Rapporté par Michel Bodin (Paris) d’après la communication présentée par Cortet B 51ème semaine de rhumatologie Aix-les-Bains, 5- 7 Avril 2006 L'algoneurodystrophie sympathique réflexe, appelé également syndrome douloureux régional complexe de type I, est une affection particulièrement complexe, dans la mesure où elle se présente avec des aspects inflammatoires, trophiques, moteurs, sensitifs, douloureux, et même une composante psychologique surajoutée. Ce syndrome touche les femmes dans 2 cas sur 3, habituellement après une histoire de...
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Compte Rendu
Algodystrophies
Dr Véra Lemaire - Rhumatologue - Paris le 7 avril 2006
Rapporté par Véra Lemaire (Paris) D’après la communication présentée par C Masson, M Ballard et AM Vigneron 51es journées du Centre Viggo Petersen et du Service de Rhumatologie de Bichat, Paris, 30-31 mars 2006 La prise en charge par les algologues de l’algodystrophie semble différente de celle des rhumatologues et notamment les malades ne sont pas les mêmes. Les critères sont une douleur disproportionnelle, des troubles vasomoteurs et trophiques. Il existe en général une phase précoce chaude et tardive froide. Mais les formes...
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Abstract
Source : Arthr. Rheum. 2004;50;3690-97
Alendronate dans le traitement de l’algodystrophie post-traumatique des membres inférieurs
Dr Véra Lemaire - Rhumatologue - Paris le 20 janvier 2005
40 patients qui avaient une algodystrophie post-traumatique des membres inférieurs, confirmée radiologiquement, le plus souvent de la cheville et du pied, ont été traités pendant 8 semaines par l’alendronate à la dose de 40 mg/j ou par un placebo. 19 patients traités par l’alendronate ont eu une amélioration importante (le 20ème avait arrêté le traitement après 2 semaines à cause d’une intolérance gastro-intestinale) et persistante : diminution de la douleur et amélioration de la mobilité articulaire alors qu’ils n’avaient pas été améliorés par différents traitements pendant...
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