L’atteinte pulmonaire de la maladie de Still est une manifestation potentiellement aussi sévère que le syndrome d’activation macrophagique, mais qui reste encore peu connue.

Cette étude montre différents facteurs de risque (FdR) d’ostéochimionécrose de la mâchoire (OCNM) post extraction dentaire dans l’ostéoporose (OP) et note l’intérêt d’une fenêtre thérapeutique.

De plus en plus de données semblent montrer une efficacité du dénosumab (Dmab) dans la dysplasie fibreuse (DF), mais il reste à en définir les modalités (dose ? durée ?). Cette étude nous apporte quelques données supplémentaires toujours précieuses dans les maladies rares.

Dans cette nouvelle étude du projet SABRE, les auteurs ont comparé le risque de fracture selon le site densitométrique analysé afin de trouver les meilleures corrélations entre la densité minérale osseuse (DMO) et les différentes localisations des fractures.

La gonarthrose, qui touche plusieurs centaines de millions de personnes dans le monde, est associée dans plus de 50 % des cas à une surcharge pondérale. Cette dernière s’accompagne d’une inflammation systémique de bas grade et de désordres métaboliques qui contribuent à la survenue et à la progression de la maladie.

La gestion des patients atteints de SSc nécessitant une radiothérapie pour cancer pose des questions en raison du risque potentiel d'exacerbation des symptômes de la SSc et de la toxicité liée à la radiothérapie. Cette revue systématique évalue les effets et la toxicité de la radiothérapie en cas de SSc.

Le SAPLo-NC désigne des cas de syndrome des antiphospholipides obstétrical (SAPLo) qui ne répondent pas entièrement aux critères de classification internationaux établis.

L’hétérogénéité, d’un pays à l’autre, des populations de patients atteints de spondyloarthrite et traités par des biothérapies ou traitements de fond synthétiques ciblés peut constituer un défi pour les études internationales. Les disparités englobent divers facteurs tels que les niveaux d’activité de la maladie, les proportions de patients utilisant des traitements de fond.

L’atteinte pulmonaire interstitielle est relativement fréquente chez les sujets ayant une polyarthrite rhumatoïde (PR) active et ACPA positive. Une récente revue systématique de la littérature et méta-analyse nous donnent une prévalence moyenne en Europe d’environ 10 % des patients.

Le rhumatisme psoriasique revêt un important polymorphisme clinique. On identifie ainsi la possibilité d’une forme axiale efficacement traitée par anti-TNF, anti-IL17 ou JAK inhibiteurs. On s’interroge concernant l’efficacité des biomédicaments anti-IL23 sur cette atteinte axiale et en attendant les résultats de l’essai contrôlé randomisé STAR.

De nombreuses études ont souligné l’augmentation du risque incident notamment de cancers bronchopulmonaires et de lymphomes chez des sujets ayant une polyarthrite rhumatoïde (PR). Pour autant l’incidence globale des cancers pourrait ne pas être supérieure à celle de la population générale.

L’arsenal thérapeutique de la polyarthrite rhumatoïde (PR) s’est considérablement enrichi au cours de ces 3 dernières décennies. On dispose de différents mécanismes d’action soit anticytokinique, soit anticellulaire. Pour autant, il existe encore quelques PR difficiles à traiter, voire réfractaire.