Envoi du mail en cours
 

Biologie - Recherche /
× Biologie

89 articles dans cet axe pathologique
3 caractères minimum
Article Commenté
Source : Curr Opin Rheumatol 2019 ; 31:293-9.
Les inhibiteurs de check-point : des inducteurs de polyarthrite
Pr Eric Hachulla - Médecin Interniste - CHRU - Lille le 10 mai 2019
Les inhibiteurs de check-point utilisés dans l’immunothérapie du cancer ciblent soit CTLA-4 (ipilimumab), ciblent PD-1 (programmed cell desk protein-1 : nivolumab, pembrobelizumab et cemipilab) ou ciblent PD-L1 (programmed desk ligand-1 : avelumab, atezolizumab et durvalumab. Les effets indésirables immuns induits par ces molécules (irAE = Immune related Adverse Events)...
Lire la suite
Articles scientifiques (89)
Article Commenté
Source : Am J Clin Nutr. 2019 ; 109(1):207-17.
Supplémentation en vitamine D chez la personne âgée : effet sur l'os. Essai randomisé
Dr Philippe Chauveau - Néphrologue - Aurad-Aquitaine - Bordeaux le 15 avril 2019
La carence en vitamine D (VitD) est fréquente dans la population générale et plus encore chez la personne âgée (PA). Avec l’âge, une ostéopénie, qui est multi-factorielle, peut être en relation avec une carence relative en VitD. Dans ce contexte, le traitement par VitD à doses variables selon les études serait bénéfique pour la qualité de l’os. Cette variabilité se retrouve dans les recommandations qui elles aussi sont variables : en Grande-Bretagne, le taux...
Lire la suite
Article Commenté
Source : J Rheumatol 2015 ; 42:572-579
PR : les anticorps anti-CarP sont susceptibles de précéder les premiers signes cliniques de la maladie
Pr René-Marc Flipo - Rhumatologue - CHU - Lille le 18 décembre 2015
Il a été bien démontré que l’apparition de facteurs rhumatoïdes et/ou d’ACPA pouvait précéder les premiers signes cliniques de la maladie parfois plusieurs années. Les anticorps dirigés contre des protéines carbamylées (anti-CarP) peuvent être détectés dans la PR avec une excellente spécificité et une présence notamment chez des sujets n’ayant pas d’anticorps anti-CCP. Ce travail original avait pour objectif de rechercher la présence d’anticorps anti-CarP sur des
Lire la suite
Article Commenté
Source : J Rheumatol 2015 ; 42:181-87
L’augmentation des chaînes légères libres est susceptible de précéder l’apparition clinique de la PR
Pr René-Marc Flipo - Rhumatologue - CHU - Lille le 27 novembre 2015
On connaît aujourd’hui l’importance physiopathogénique des lymphocytes B dans la PR et autres maladies auto-immunes : activation des lymphocytes B autoréactifs, différentiation plasmablastes, synthèse de différents auto-anticorps dont le facteur rhumatoïde et les ACPA. Ces derniers anticorps peuvent être synthétisés plus d’une dizaine d’années avant l’apparition des premiers signes cliniques. Ce travail conduit par l’équipe de la Mayo Clinic avait pour objectif principal d’évaluer le lien entre la
Lire la suite
Article Commenté
Source : J Rheumatol 2014 ; 41: 2395-2402
Anticorps anti-CCP et affections rhumatologiques : l’expérience du Centre de Cochin sur 1 162 patients
Pr René-Marc Flipo - Rhumatologue - CHU - Lille le 4 septembre 2015
Les anticorps anti-CCP sont aujourd’hui reconnus pour leur très bonne spécificité dans la PR. Ils sont associés à l’attribution de 3 points quant à leur présence à taux élevé dans le cadre des critères ACR/EULAR 2010. On sait toutefois qu’il ne s’agit pas d’un critère pathognomonique de la PR. Leur présence a été signalée dans d’autres pathologies rhumatologiques notamment certaines spondyloarthrites comme le rhumatisme psoriasique, le syndrome de Sjögren ou d’autres connectivites.
Lire la suite
Article Commenté
Source : Arthritis Rheum 2013 ; 65:2243-52
PR : la saga des ACPAs – Article 2 : résultats de la cohorte SERA
Pr René-Marc Flipo - Rhumatologue - CHU - Lille le 28 février 2014
La notion de PR séropositive se définit aujourd’hui par la présence de facteurs rhumatoïdes (le plus souvent d’isotype IgM) et/ou d’ACPAs (le plus souvent de type anti-CCP2). On connaît par ailleurs la spécificité des ACPAs et leur possible apparition plusieurs années avant l’apparition des premières synovites (on parle alors de phase « sérologique » ou « préclinique » de la maladie). Cette étude nord-américaine avait pour objectif principal d’évaluer la fréquence des ACPAs recherchés par Elisa anti-CCP2 et anti-CCP3 chez des sujets ayant une PR établie comparativement à des sujets apparentés
Lire la suite
Article Commenté
Source : Arthritis Rheum 2013 ; 65:899-910
PR : la saga des ACPAs – Article 3 : la présence d’ACPA peut précéder la maladie d’une dizaine d’années…
Pr René-Marc Flipo - Rhumatologue - CHU - Lille le 28 février 2014
Il s’agit d’une importante étude cas-témoins ayant évalué la fréquence de différents ACPA et leur précocité d’apparition chez des sujets ayant secondairement développé une PR. Les prélèvements ont été récupérés à partir de 2 cohortes : une biobanque de la Suède du Nord et une biobanque issue de la cohorte dite des maternités (prélèvements effectués lors d’une grossesse à la recherche initialement d’une infection par la rubéole). Les données ont été croisées avec le registre de rhumatologie d’UMEA (identification des sujets PR / critères ACR 1987). Au total, les auteurs ont identifié
Lire la suite
Article Commenté
Source : Arthritis Rheum 2013 ; 65:1439-47
PR : la saga des ACPAs – Article 4 : l’expérience canadienne de L. Barra et al.
Pr René-Marc Flipo - Rhumatologue - CHU - Lille le 28 février 2014
Les ACPAs sont des anticorps très spécifiques de la PR, et quelques études ont bien démontré maintenant qu’ils pouvaient être retrouvés jusqu’à plusieurs années avant l’apparition des premiers signes cliniques. On sait par ailleurs qu’il existe une prédisposition génétique (principalement associée à la théorie dite de l’épitope partagé), et on retrouve une association entre la présence d’allèles à risque et la présence d’ACPA. Cette étude canadienne est une analyse comparative entre 88 sujets ayant une PR définie sur les critères ACR 1987 ou EULAR/ACR 2010, 50 parents
Lire la suite
Compte Rendu
Source : ACR 2013
Spondylarthrite et dysfonction de DKK
Dr Véra Lemaire - Rhumatologue - Paris le 27 octobre 2013
Les protéines synthétisées par le groupe Wnt sont des médiateurs clefs de l’ostéoblastogénèse. Wnt est inhibé par DKK. Ces protéines se lient à un récepteur (LRP5/6 et signalent la différentiation ostéoblastique. Le blocage de DKK active Wnt et conduit à la formation d’ostéophytes. Les patients qui ont une SA ont des taux bas de DKK fonctionnel liés à LRP5/6 ou des taux élevés ce qui est en faveur d’une dysfonction.
Lire la suite
Article Commenté
Source : Arthritis Rheum. 2012 ; 64 : 3034-3042
Procalcitonine et arthrites septiques au cours des malades auto-immunes – Résultats d’une méta-analyse
Pr René-Marc Flipo - Rhumatologue - CHU - Lille le 30 novembre 2012
Au cours des maladies auto-immunes, il est parfois difficile d’établir le diagnostic d’arthrite septique devant une articulation rouge, douloureuse et chez un sujet fébrile. Pour différencier une arthrite septique d’une poussée inflammatoire, plusieurs études ont mis en avant l’intérêt potentiel du dosage de la procalcitonine ; marqueur biologique qui serait plus sensible et surtout plus spécifique que la polynucléose neutrophile ou l’élévation de la CRP. Les résultats des études restent néanmoins controversés, d’où l’intérêt de cette revue de la littérature et méta-analyse.
Lire la suite