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La newsletter Actu’bimestrielle
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| Cher(e)
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Merci d’être au rendez-vous de cette newsletter d’automne.
L’article marquant de cet automne est indiscutablement à trouver du côté de la prise en charge de la migraine. Vous lirez qu’un traitement simple et habituellement bien toléré de l’hypertension, le candesartan, déjà recommandé comme possible traitement de deuxième ligne, pourrait devenir un traitement de fond de la migraine épisodique avec ou sans aura… |
| Par le Pr Gilles Defer (CHU, Caen) |
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| Comité de rédaction |
Rédacteur en chef
Pr Gilles Defer, Caen
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Rédacteurs
Dr Jean Bouchart, Caen
Dr Thomas De Broucker, Saint-Denis
Dr Christian Geny, Montpellier
Pr Arnaud Kwiatkowski, Lille
Dr Emmeline Lagrange, Grenoble
Dr Inès Masmoudi, Amiens |
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| Migraines et céphalées
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| Candesartan versus placebo pour la prévention des migraines épisodiques : un essai randomisé en triple aveugle contre placebo de phase 2 |
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Par le Dr Jean Bouchart - Neurologue - CHU - Caen - Publié le 10 novembre 2025.
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| Une étude randomisée de phase 2 démontre que le candesartan réduit en moyenne de 2 jours de migraine par mois le nombre de jours de migraine chez les patients souffrant de migraine épisodique (entre 2-8 crises par mois). Ce traitement oral, peu coûteux et bien toléré, pourrait devenir une alternative de première intention face aux options actuelles, souvent limitées par leur coût ou leurs effets secondaires. |
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Article commenté :
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Candesartan versus placebo for migraine prevention in patients with episodic migraine: a randomised, triple-blind, placebo-controlled, phase 2 trial
L Rystad Øie, T Wergeland, Ø Salvesen et al.
Lancet Neurol. 2025 ; 24(10):817-827.
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Par le Dr Christian Geny - Neurologue - CHU - Montpellier - Publié le 10 novembre 2025.
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| Les dispositifs DBS actuels appliquent une neurostimulation continue à amplitude fixe, rendant le traitement peu adaptable aux fluctuations des symptômes et de l’activité neuronale dans la maladie de Parkinson (MP). Cette contrainte peut entraîner un surtraitement ou un sous-traitement chez certains patients recevant une stimulation cérébrale profonde conventionnelle (cDBS) et des médicaments dopaminergiques. |
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Article commenté :
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Long-Term Personalized Adaptive Deep Brain Stimulation in Parkinson Disease: A Nonrandomized Clinical Trial.
Bronte-Stewart HM, Beudel M, Ostrem JL et al.
JAMA Neurol. 2025 Sep 22:e252781.
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| SEP et maladies apparentées
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| Niveau d'éducation, facteurs de risque liés au style de vie, choix des traitements et progression dans la SEP |
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Par le Pr Gilles Defer - Neurologue - CHU - Caen - Publié le 10 novembre 2025.
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| Bien que des études antérieures aient suggéré une association entre un faible niveau d'éducation (reflet indirect du statut socio-économique) et la progression de la SEP, les mécanismes sous-tendant cette association restent à clarifier. En particulier tout ce qui concerne les liens avec les styles de vie et les facteurs de risque qui y sont associés sont particulièrement importants. |
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Article commenté :
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Education, Lifestyle Risk Factors, and Treatment Choices and Multiple Sclerosis Progression
J Guo, T Olsson, J Hillert et al.
JAMA Network Open. 2025;8(7):e2520142.
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| SEP et maladies apparentées
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| Vers l'égalité réelle entre les femmes et les hommes : le choix du traitement de fond de la SEP toujours en question ! |
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Par le Pr Arnaud Kwiatkowski - Neurologue - Hôpital Saint Vincent de Paul - Lille - Publié le 10 novembre 2025.
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| Une sous-exposition des femmes aux traitements de fond de la sclérose en plaques (SEP) est confirmée dans cette cohorte nationale française au cours de 3 dernières décennies, même si elle se réduit progressivement. Jusqu’en 2023, l’utilisation des traitements de haute efficacité restait encore inférieure chez les femmes, reflet d’une inertie thérapeutique. |
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Article commenté :
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Sex-Related Gap in the Use of Disease-Modifying Therapies in Multiple Sclerosis.
Gavoille A, Leray E, Marignier R et al.
Neurology. 2025 ; 105(4):e213907.
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| SEP et maladies apparentées
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| Quelles sont les meilleures stratégies thérapeutiques pour gérer le risque de poussée de SEP lors d'une grossesse et du post-partum ? Réponses issues de la cohorte OFSEP |
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Par le Pr Arnaud Kwiatkowski - Neurologue - Hôpital Saint Vincent de Paul - Lille - Publié le 10 novembre 2025.
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| Une meilleure gestion des traitements de fond de la sclérose en plaques est possible pour limiter le risque inflammatoire dans la période de la grossesse et du post-partum. Certaines stratégies doivent être favorisées, alors que d’autres sont à écarter sans aucun doute devant les risques importants pour les femmes. |
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Article commenté :
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Therapeutic Management During Pregnancy and Relapse Risk in Women With Multiple Sclerosis.
Gavoille A, Rollot F, Casey R et al.
JAMA Neurol. 2025 ; 82(10):994-1003.
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| Autres en Neurologie
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| Utilisation de l'IRM dans la NMOSD et MOGAD : proposition du groupe d'experts français NOMADMUS |
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Par le Dr Inès Masmoudi - Neurologue - CHU - Amiens - Publié le 10 novembre 2025.
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| Des lumières sur l’utilisation de l’IRM dans la NMOSD et MOGAD. Les troubles du spectre de la neuromyélite optique et les maladies du spectre des anticorps anti-MOG n’ont, à ce jour, pas de recommandations sur la surveillance radiologique. Les objectifs de ce travail sont d'établir des propositions pour un protocole d'acquisition d'IRM standardisé, et la surveillance IRM dans la prise en charge de ces maladies. |
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Article commenté :
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MRI management of NMOSD and MOGAD: Proposals from the French Expert Group NOMADMUS
F Durand-Dubief, N Shor, B Audoin et al.
J Neuroradiol. 2025 ; 52(1):101235.
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| Autres en Neurologie
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| Comment la toxine de l'algue ostreopsis (cause de fermeture des plages) agit-elle sur le cerveau et comment expliquer les symptômes cliniques neurologiques aigus en cas d'exposition ? Quels sont les risques neurologiques de l'exposition chronique ? |
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Par le Dr Emmeline Lagrange - Neurologue - CHU - Grenoble - Publié le 10 novembre 2025.
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| À la faveur de l’évolution des conditions climatiques, l’algue de genre Ostreopsis s’étend avec des fermetures des plages du pourtour méditerranéen aux côtes basques. Elle représente un risque sanitaire lié au réchauffement climatique identifié comme aigu, avec 771 contaminations déclarées en 2021 sur le littoral basque. |
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Article commenté :
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Potential threat of environmental toxin palytoxin to cerebral nerves: A mechanism study in vitro and in vivo
X Zhang, L Huang, Y Liu et al.
Ecotoxicol Environ Saf. 2025 Apr 15:295:118150.
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Vos patients ont lu
Revue de presse rédigée par Nathalie Churlet
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| « Les chercheurs ont trouvé un traitement contre cette cause d'Alzheimer spécifique aux femmes »
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| Top Santé 26 septembre 2025 |
| « Après 50 ans, les femmes sont plus touchées par les AVC que les hommes. Nombre d’entre elles développent ensuite une démence comme Alzheimer. Des chercheurs [de la Texas A&M University (Etats-Unis)] pensent avoir trouvé un traitement spécifique », fait savoir Agathe Mourey dans Top Santé. |
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| « Le miel pourrait-il prévenir la maladie d'Alzheimer? »
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| Notre Temps 11 septembre 2025 |
| « Dans un article de Nutrients publié en août 2025 », « des chercheurs dévoilent dans une publication scientifique que le miel pourrait protéger contre la maladie d'Alzheimer. Une piste à prendre avec prudence, mais qui pourrait se révéler passionnante », révèle Oihana Gabriel dans Notre Temps. |
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| « Ce trait de caractère serait la clé pour rester alerte en vieillissant et lutter contre la démence »
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| Femme Actuelle 10 septembre 2025 |
| « Des chercheurs en psychologie de l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA) se sont également intéressés à une particularité qui aurait une influence sur le risque de démence : la curiosité », indique Agathe Bourdarias dans Femme Actuelle. |
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| « Des chercheurs alertent : si vous avez déjà eu cette maladie courante, vous pourriez être plus à risque de démence ou de Parkinson »
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| Top Santé 11 octobre 2025 |
| « Selon des travaux parus dans la revue Neuron, une association aurait été observée entre certains épisodes infectieux graves et un risque accru de Parkinson ou d’Alzheimer », révèle Raphaëlle de Tappie dans Top Santé. |
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| « La maladie de Parkinson serait causée par des trous dans les neurones »
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| Sciences et Avenir 29 septembre 2025 |
| « L’accumulation de la protéine α-synucléine est l'une des caractéristiques de la maladie de Parkinson. Cette nouvelle étude montre que ces protéines pourraient trouer la membrane des neurones, les affaiblissant petit à petit », fait savoir Nicolas Gutierrez C. dans Sciences et Avenir. |
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Le site de la neurologie
neuroscoop.net
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Directeur de la publication : Thierry Klein
Directrice médicale : Dr Carine Cueille
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