Nouvelle technique en AMP, « AUGMENT » : est-ce que le transfert autologue de mitochondries améliore vraiment le pronostic des couples en échec de FIV ?   La qualité embryonnaire est un facteur majeur des chances de succès en AMP, tout comme la réserve ovarienne, et l’ovocyte joue un rôle central dans cette capacité de l’embryon à se développer. Aux premiers stades du développement embryonnaire les mitochondries jouent un rôle primordial pour apporter toute l’énergie nécessaire.

Existe-t-il une augmentation du risque d’accouchement prématuré ou de petit poids de naissance chez les singletons issus d’un transfert d’embryons multiples ?  Le « vanishing twin phenomenon » (VTP) est défini par la survenue d’une fausse couche précoce ou tardive d’un des 2 jumeaux. Ce phénomène est constaté dans environ 5% des grossesses gémellaires issues d’AMP.

Comparaison des taux cumulés de naissances vivantes après ICSI et FIV en fonction de la nature de l’infertilité L’ICSI a été développée initialement pour la prise en charge de l’infertilité masculine associée à une altération des paramètres spermatiques. Cependant on a pu observer une augmentation de l’utilisation de cette technique d’AMP (Assistance Médicale Procréation) pour toute cause d’infertilité.

La plupart des méthodes d’évaluation de la qualité de l’embryon sont basées sur des critères morphologiques comme la taille des blastomères, leur nombre, leur symétrie, le pourcentage de fragmentation, les anomalies cytoplasmiques et la multinucléation. Il y a très peu d’études qui ont évalué la relation entre ces paramètres morphologiques et le sexe de l’embryon et les conclusions des quelques études réalisées sont contradictoires.

Devant une infertilité dite inexpliquée, estimer les chances de conception naturelle au moment du bilan initial est certes essentiel mais pas suffisant. Dans l’année qui suit, il devient possible de réévaluer périodiquement cette estimation grâce à un modèle prédictif dynamique.

Une progestéronémie ≥ 1.5 ng/mL au moment du déclenchement influencerait la qualité embryonnaire et impacterait les taux cumulés de naissances vivantes. Plusieurs études ont démontré que le taux de grossesse obtenu en FIV était inversement corrélé au niveau de progestéronémie (Pg) retrouvé en fin de phase folliculaire. Une Pg élevée induirait de...

Est-ce que la dydrogestérone pourrait être une alternative au gel vaginal de progestérone micronisée pour le soutien lutéal après ponction d’ovocytes ? Nous ne reviendrons pas sur la nécessité du soutien lutéal après stimulation ovarienne pour FIV/ICSI et la non-supériorité démontrée d’une voie sur une autre. A ce jour, la progestérone...

Accrochez-vous Messieurs, la dysfonction sexuelle vous guette… quelques chiffres et solutions thérapeutiques. Une dysfonction sexuelle masculin dans le contexte d’infertilité du couple se présente souvent...

Est-ce que les femmes infertiles de moins de 38 ans et présentant une diminution de leur réserve ovarienne et/ou une mauvaise réponse aux stimulations sont également exposées à une mauvaise qualité ovocytaire évaluée sur le taux de blastulation, d’aneuploïdie ainsi que de naissance vivante ?