Pour l’épisode 50 de sa série « Les soignants face au coronavirus », Elsa Freyssenet livre dans Les Echos le témoignage du Pr Bertrand Prunet, médecin-chef des pompiers de Paris. « Anesthésiste-réanimateur, il expérimente l'oxygénation à haut débit avant même l'arrivée à l'hôpital. Cette technique pourrait servir aussi aux victimes d'incendie », indique la journaliste...

« La crise sanitaire a profondément impacté le fonctionnement des 243 centres anti-douleurs. Allongement des délais de consultation d’un mois, personnel manquant, impact majeur sur le psychisme des patients. De l’avis des spécialistes, le pire est à venir », révèle Sylvie Riou-Milliot dans Sciences et Avenir. La journaliste revient sur le 20e congrès de la Société française d’étude...

« Nouveauté opératoire au CHP Saint-Grégoire, conséquence, heureuse cette fois, de l'épidémie : les produits nécessaires à l'anesthésie ayant été réservés en priorité à la réanimation, les praticiens ont dû s'adapter, et ont tenté, avec succès, de remplacer des anesthésies générales par des locales », fait savoir France Info sur son site, évoquant une « pénurie [qui] pousse à la créativité »...

« Se faire anesthésier pour être opéré, un adulte sur deux y sera confronté au moins une fois dans sa vie. Malgré les progrès médicaux, ce sommeil protecteur inquiète encore », indique Ouest France. « S’endormir et ne jamais se réveiller, se réveiller en pleine opération, mal se réveiller après l’intervention… (…). Pourtant, tous ces risques bien ancrés dans l’imaginaire collectif sont devenus...

« Relativement épargnés par la reprise de l'épidémie de Covid-19 au mois d'août, les hôpitaux français voient la situation se dégrader nettement depuis le début du mois de septembre. La situation est particulièrement critique dans les Bouches-du-Rhône, à Paris et dans le Rhône », révèle Florian Maussion dans Les Echos. Le journaliste note que le ministre de la Santé, Olivier Véran, a déclaré...

« Corticoïdes, solutions pour éviter l'intubation... On sait mieux soigner aujourd'hui qu'au début de la pandémie les malades du Covid-19 les plus graves, ce qui peut sauver des vies, selon des spécialistes interrogés par l'AFP en France et aux Etats-Unis », fait savoir Sciences et Avenir. « Beaucoup de progrès ont été faits », assure le Pr Eric Maury, président de la Société de réanimation...

« Les services de réanimation n'accueillent plus les patients atteints de formes graves du Covid-19 de la même façon qu'avant », révèle Jane Roussel dans Top Santé. « Au début de l'épidémie, les patients transportés à l'hôpital pour difficultés respiratoires étaient très souvent mis sous respirateurs artificiels. C'est-à-dire qu'ils étaient sédatés, endormis et branchés à une machine pour...

Dans Notre Temps, le Dr Vianney Mourman, médecin de soin palliatif à l’Hôpital Lariboisière (Paris) depuis quinze ans, « s’insurge contre les rumeurs d’abandon de soin voire d’euthanasie dans les Ehpad et affirme qu’"aucun malade n’a été exclu de réanimation en raison de son âge dans son hôpital" ». « Il en est de même partout en France », estime le Pr Olivier Guérin, président...

Siham Zriouel, médecin anesthésiste-réanimateur au sein du service de réanimation chirurgicale de l’hôpital Saint-Antoine à Paris, partage son quotidien dans Santé Magazine. « Cette épidémie a bousculé le quotidien des hôpitaux et des soignants. Ici, le nombre de lits de réanimation a plus que doublé : nous avons créé des lits supplémentaires au bloc opératoire et dans des...

Sciences et Avenir rapporte que « l'unité post-réanimation respiratoire qui accueille depuis début avril à l'hôpital de Mulhouse des malades du Covid-19 trachéotomisés, soulage toujours des services de réanimation sur le fil du rasoir, ont souligné (…) les médecins ». « Décidée lors d'une cellule de crise réunie le 2 avril, l'ouverture de cette unité est intervenue cinq jours plus tard...