L’étude ENGAGE AF est une étude multicentrique, randomisée, en double aveugle comparant l’edoxaban à deux doses à la warfarine dans la prévention des AVC et embolies systémiques chez des patients présentant une FA non valvulaire.
Critères d’inclusion : FA non valvulaire, score CHADS 2 > 2 ; clairance créatinine > 30 mL/min, faible risque de saignement, pas de SCA ni d’AVC récent.

L’étude Cardiac Surgery Clinical Research Network a comparé deux types de chirurgie mitrale : plastie mitrale et remplacement valvulaire mitral chez des patients ayant une insuffisance mitrale d’origine ischémique.
Les auteurs ont évalué les différences entre les deux stratégies sur les évènements cardiaques et cérébrovasculaires majeurs à 12 mois en incluant une évaluation des différences de mortalité.

L’étude a inclus 253 patients présentant un SCA récemment.
Les patients ont été randomisés entre une stratégie de suivi standard et une stratégie combinant des éducations via téléphone et via intervention d’un pharmacien, des messages téléphoniques, une communication médecin – pharmacien et des rappels téléphoniques et SMS pour la prise des traitements.

L’étude CATIS s’est intéressée au bénéfice du contrôle de la pression artérielle dans les 48 premières heures d’un AVC. En effet, l’élévation de la pression artérielle à la phase aiguë de l’AVC est fréquente, et à ce jour, les études plaidaient plutôt pour un respect des chiffres élevés de la pression artérielle à la phase aiguë afin de ne pas majorer l’ischémie cérébrale.
L’étude CATIS a été menée en simple aveugle. Il s’agit d’une

L’étude RADAR AF (Radiofrequency Catheter Ablation of Drivers vs Circumferentiel Pulmonary Vein Isolation in patients with AF) a évalué l’intérêt de l’ablation des rotors intervenant en comparaison de l’ablation des veines pulmonaires dans la FA paroxystique et persistante.
L’étude a inclus 113 patients présentant une FA paroxystique dont 58 ont été randomisés

Peut-on utiliser les dérivés nitrés pour diminuer les lésions de reperfusion dans l’infarctus aigu traité par angioplastie primaire ?
L’étude NIAMI (Nitrite in Acute Myocardial Infarction) a inclus des patients présentant un infarctus aigu traité par angioplastie primaire.
Dans cette étude, les patients ont été randomisés en double aveugle pour recevoir ou non du sodium nitrite

Comme nous l’avons largement souligné dans « Les cahiers du Parkinson », l’attention des recherches abordant l’exploration des bases biologiques de la maladie de Parkinson s’est portée sur l’ensemble des symptômes non moteurs de la maladie, présents tôt dans son évolution et impliquant notamment des symptômes des registres psychiatriques et émotionnels.
Dans cet article, les auteurs passent en revue les résultats d'études récentes ayant porté sur la perception musicale dans la maladie de Parkinson. Ici, les auteurs examinent de plus près les résultats d’une étude récente 

Dans la maladie de Parkinson, l’existence de nombreux signes non moteurs, l’impact sur la vie du conjoint et de son aidant et le manque de procédures sur les stratégies non médicamenteuses imposent le plus souvent une prise en charge multidisciplinaire.
Celle-ci reste le plus souvent informelle et n’a pas fait la démonstration de son efficacité en termes d’evidence based medicine. Il est en effet toujours difficile d’évaluer l’effet de multiples thérapeutiques non médicamenteuses dans une population clinique hétérogène.
Ces difficultés n’ont pas rebuté l’équipe 

Lors de l’évolution de la maladie de Parkinson, il n’est pas rare de voir apparaître des symptômes dépressifs accompagnant les troubles cognitifs. Comme les auteurs de cette étude le rappellent, les traitements dopaminergiques ont montré leur efficacité pour le traitement des symptômes moteurs de la maladie, mais peu de données sont encore disponibles sur leurs effets neuropsychologiques en général, et sur les symptômes dépressifs en particulier.
Dans ce but, cette étude a comparé le fonctionnement cognitif de deux groupes de patients atteints de 

Une importante étude contrôlée et randomisée, publiée dans le numéro de novembre de Diabetes Care, apporte sur ce sujet des informations contrastées.
Deux cent dix-huit patients, diabétiques, de type 1(DT1) pour la plupart, traités par multi-injections et pratiquant l’insulinothérapie fonctionnelle (« l’IF » des Français, et le « carbohydrate counting » des Anglo-Saxons), mal équilibrés (HbA1c = 8,88±1,20%) ont été inclus dans cette étude.
La moitié ont reçu, après tirage au sort, un lecteur de glycémie où était incorporé un calculateur de bolus préalablement

La chirurgie bariatrique est actuellement réservée aux patients obèses répondant aux critères d’éligibilité édictés par les recommandations pour une telle chirurgie, à savoir la réserver, en seconde intention, en cas d’échec d’au moins 6 mois de régime et traitement médical bien conduit, et uniquement chez les patients souffrant d’obésité morbide (indice de masse corporelle [IMC] ≥ 40 kg/m2, environ 550 000 en France) ou à ceux ayant une obésité avec IMC ≥ 35 kg/m2 et au moins une co-morbidité grave mal contrôlée (hypertension artérielle, diabète de type 2 [DT2], broncho-pneumopathie chronique obstructive, etc.)

De 2001 à 2003, puis de 2007 à 2010, deux études intitulées « Entred » ont été menées sur un échantillon représentatif de population diabétique française (patients diabétiques tirés au sort dans les bases de remboursements de l’assurance-maladie).
Ces études ont permis de caractériser l’état de santé et la qualité des soins délivrés aux patients diabétiques français, ainsi que d’en suivre les évolutions (au travers d’enquêtes menées auprès des patients eux-mêmes et de leurs médecins).
Le manuscrit de Druet et al. (2013) présente les principaux résultats